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Communiqué Final du Conseil des Ministres du 02 Mai 2013

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L’intérêt de ces assises vise invariablement et irrévocablement la concrétisation de grands desseins prescrits dans le Plan Stratégique Gabon Emergent (PSGE) dont les principaux se résument par :

Paragraphe 1: 

• le développement harmonieux et durable de notre pays, créant ainsi la richesse ;
• l’amélioration des conditions de vie des populations, tout en réduisant la pauvreté et les inégalités sociales dans la paix, la sérénité, la concorde et la justice ;
• le rayonnement de notre pays qui doit demeurer attrayant et digne d’envie.

Le Conseil des Ministres s’est réjoui de l’engagement manifeste des femmes pour les activités agricoles dans le cadre de la célébration de la Journée Nationale de la Femme dont le thème portait sur « L’Agriculture ».

A cet effet, le Conseil des Ministres s’est félicité de la détermination des plus hautes autorités de l’Etat dans la mise en œuvre des mesures d’accompagnement et d’encouragement pour le retour à la terre, terre nourricière, afin de contribuer à la sécurité alimentaire pour que le Gabon Vert devienne une réalité.

Dans le même sillage et répondant à une invitation officielle de Sa Majesté Le Roi Mohamed VI du Maroc, Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a effectué une visite de travail au Maroc dans la ville de Meknès, terreau par excellence de la culture oléicole et la production d’huile d’olive aux fins de prendre part au Salon International de l’Agriculture du Maroc (SIAM).

A cette occasion, notre pays le Gabon a fait montre d’une originalité typique, dans le cadre du Salon International de l’Agriculture du Maroc (SIAM), par l’étalage de ses richesses dans un pavillon qui lui a été réservé.

Aussi, Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a-t-il décliné son ambition découlant du pilier Gabon Vert pour la valorisation du potentiel agricole adapté aux besoins de nos populations et a fait la promotion de nos terres fertiles et du marché gabonais porteur, ouvert et offert aux Investisseurs Marocains.

Le Plan Stratégique Sectoriel de l’Agriculture, perçu unanimement par les acteurs essentiellement féminins et Investisseurs Marocains du monde agricole comme une feuille de route sur la base de laquelle le Gabon et le Maroc peuvent asseoir et bâtir une Coopération Sud-Sud, s’appuyant sur le Plan Maroc Vert dont le pragmatisme, le réalisme et la réussite sont incontestables.

Le « prix du mérite » dénommé Ali BONGO ONDIMBA a été décerné au Président de la République Gabonaise pour la qualité de l’ambition déclinée dans le Plan Sectoriel de l’Agriculture et le programme Gabon Bleu.

Sur un tout autre plan et sur invitation du Président en exercice de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale, Son Excellence Idriss DEBI ITNO, le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, Président en exercice de la Communauté Monétaire des Etats d’Afrique Centrale, a pris part à un Sommet des Chefs d’Etat de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC) à Ndjaména au Tchad.

A l’issue des travaux, le Conseil National de Transition (CNT), dispose de la plénitude du pouvoir législatif. Il est chargé de préparer le projet de Constitution à soumettre au suffrage populaire.

Les Chefs d’Etat et de Gouvernement réitèrent leur totale confiance au Comité de Suivi de l’Accord de Libreville sous l’égide de Son Excellence Denis SASSOU NGUESSO, Président de la République du Congo.

Le Sommet a adopté une feuille de route relative à la composition et au fonctionnement du Conseil National de Transition (CNT) et un document comportant des éléments pour l’élaboration d’une autre feuille de route pour la transition en République Centrafricaine (RCA).

Titre paragraphe 2: 
EN MATIERE DE POLITIQUE GENERALE
Paragraphe 2: 

MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES, DE LA COOPERATION INTERNATIONALE, DE LA FRANCOPHONIE, CHARGEE DU NEPAD ET DE L’INTEGRATION REGIONALE

Le Conseil des Ministres a marqué son accord aux demandes d’agréments de leurs Excellences :

• Monsieur Hisham Fathy Mohamed MOSTAFA, en qualité d’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République Arabe d’Egypte près la République Gabonaise, avec résidence à Libreville ;

• Monsieur Ram MANOHAR, en qualité d’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République de l’Inde près la République Gabonaise, avec résidence à Kinshasa en République Démocratique du Congo ;

• Monsieur Arvind MAHESHWARI, en qualité de Consul Honoraire du Gabon à Mumbai en Inde.

MINISTERE DE L’ECONOMIE NUMERIQUE, DE LA COMMUNICATION ET DE LA POSTE

Madame le Ministre a informé le Conseil des Ministres, qui en a pris note, de la célébration de la Journée Mondiale de la Liberté de la Presse, du 02 au 03 Mai 2013, à l’Auditorium Maison Georges RAWIRI, sous le thème : « Parler sans crainte – assurer la liberté d’expression dans tous les médias ».

MINISTERE DES EAUX ET FORETS

Le Conseil des Ministres a marqué son accord au Ministre pour la célébration, du 11 au 12 Mai 2013, de la « Journée Mondiale des Oiseaux Migrateurs » sous le thème : « Travailler en réseau pour les oiseaux migrateurs ».

MINISTERE DE LA FAMILLE ET DES AFFAIRES SOCIALES

Le Conseil des Ministres a approuvé la célébration dans la province de l’Estuaire, de la fête des mères, qui aura lieu le Dimanche 26 Mai 2013.

L’édition de cette année a pour thème : « La mère face aux défis actuels de notre société, cas des mères chefs de famille et économiquement faibles ».

A cet effet, les activités prévues sont les suivantes :

• une causerie/débat sur le thème de la journée ;
• un renforcement des capacités matérielles des mères chefs de famille économiquement faibles.

Titre paragraphe 3: 
AU TITRE DES MISSIONS – SEMINAIRES – CONFERENCES :
Paragraphe 3: 

MINISTERE DES EAUX ET FORETS

Le Ministre a sollicité et obtenu du Conseil des Ministres, l’accord pour la tenue à Libreville de deux (2) ateliers dont l’objectif global est la présentation du Plan d’Actions National de Lutte contre l’Exploitation Forestière Illégale dans les Provinces du Woleu-Ntem et de l’Ogooué Ivindo, notamment à Oyem et à Makokou. Ces deux (2) rencontres seront précédées par un atelier national sur le lancement du Plan d’Actions National de Lutte contre l’Exploitation Forestière Illégale, le 15 Juin 2013, à Libreville.

Le Conseil des Ministres a autorisé un certain nombre de missions à l’étranger des membres du Gouvernement.

La notification de chaque mission sera faite aux différents Ministres par le Secrétariat Général du Conseil des Ministres.

Enfin, le Conseil des Ministres a entériné les mesures individuelles suivantes :

MINISTERE DE LA JUSTICE, GARDE DES SCEAUX, DES DROITS HUMAINS ET DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLES, PORTE PAROLE DU GOUVERNEMENT

CABINET DU MINISTRE

- Conseiller Chargé de la Protection de l’Enfance, de la Planification Stratégique et de la Prospective en Matière de Ressources Humaines : Mme AÏLA NGOUONI Maryse, née DUBOZE.

- Conseiller Chargé des Questions Administratives : M. BOULOUPI Jean Julien.

M. MOUNDZIEOUD KOUMBA Louis Claude, précédemment conseiller en Communication est remis à la disposition de son administration d’origine.

MINISTERE DE LA SANTE

CABINET DU MINISTRE

- Conseiller Chargé de la Qualité des Soins et des Questions Médicales : Dr ANTCHOUEY épouse AMBOURHOUET BIGMANN Anne Marie Françoise, précédemment Directeur des Affaires Médicales au Centre Hospitalier Universitaire d’Angondjé.

DIRECTION GENERALE DE LA SANTE

- Directeur Général Adjoint 1 de la Santé : Dr NGOMO Jean Juste, précédemment Directeur de la Réglementation et de la Qualité des Soins, en remplacement du Professeur NGUEMA MVE Raymond.

- Directeur Général Adjoint 2 de la Santé : M. ROTIMBO Alain Charles.

- Directeur de la Réglementation et de la Qualité des Soins : Dr ONDO EYENE Catherine, précédemment Inspecteur Général Adjoint de la Santé.

DIRECTIONS REGIONALES DE SANTE

- Directeur Régional de Santé Libreville/ Owendo : Dr NZENGUE Antoine, en remplacement du Dr ANTIMI Jonasse Solange épouse NDEMBI.

- Directeur Régional de Santé du Moyen Ogooué : M. NGOMBI Gilbert.

- Directeur Régional de Santé de la Ngounié : Dr MAKAYA Nigel.

- Directeur Régional de Santé de la Nyanga : M. NSANG SALLA Louis.

- Directeur Régional de Santé de l’Ogooué- Maritime : Dr BEKALE ELOQUET Pamphile.

- Directeur Régional de Santé du Woleu-Ntem : Dr GUIKOUMBI René.

CENTRES DE SANTE

Médecins Chefs des Centres de Santé :

- Centre de Santé de Nzeng-Ayong : Dr BESSAYI FOUMANGOYE Pierre, en remplacement du Dr MBOUGHE NDONG Françoise.

- Centre de Santé de la Peyrie : Dr OGOULIGUENDE Gisèle épouse MIBINZOU, en remplacement du Dr MAKAYA Nigel Igor.

- Centre de Santé d’Awendjé : Dr MBOUGHE NDONG Françoise, précédemment en service au centre de Santé de Nzeng-Ayong.

- Centre de Santé Communautaire d’Owendo : Dr ALLOGNON MAHOUTONDJI Christian, en remplacement du Dr BOUBINDJI Armel.

- Centre de Santé de Lalala : Dr ATSAME EBANG, précédemment en service au Centre Hospitalier Régional de Port-Gentil, en remplacement du Dr MINTO’O NTOUGOU Ernest Junior.

- Centre de Santé Maternelle et Infantile d’Akébé : Dr TSOUBOU MAGAMBOU Diane, précédemment en service au Centre de Santé de Louis.

- Centre de Traitement Ambulatoire-CHUL : Dr NSI Alexandrine Sylvie.

- Centre de Santé Urbain de Makokou : Dr BITEGHE Bernard.

CENTRES MEDICAUX

Médecins Chefs des Centres Médicaux :

- Centre Médical de Léconi : Dr NZAMBA NZAMBA Luc.

- Centre Médical de Moanda : Dr MOUPIGA Priscille.

- Centre Médical de Fougamou : Dr MBIKOU Achille.

- Centre Médical de Ndendé : Dr DYATT-A-MAYOMBO Kévin Cédric.

- Centre Médical de Mimongo : Dr DAFFE Modibo.

- Centre Médical de Mitzic : Dr MALANDA Jean Pierre.

- Centre Médical de Minvoul : Dr IBIATSI Dieudonné.

PROGRAMMES NATIONAUX

Programme National de Lutte Contre le Paludisme

- Directeur : Dr SAFIOU Abdoul Razack, Médecin en Santé Publique, en remplacement du Dr NZENGUE Etienne.

Programme National de Santé Maternelle et Infantile

- Directeur : Dr ANTIMI Jonasse Solange épouse NDEMBI, précédemment Directeur de la Région Sanitaire Libreville/Owendo, en remplacement du Dr Yolande NZAME épouse VIERIN.

INSPECTIONS GENERALES

INSPECTION GENERALE DES SERVICES

- Inspecteurs :

• Mme NZENZE Antoinette ;
MM.
• ATSOUGOU Jean Baptiste ;
• NZIKOKO LOBA Jean ;
• OYONE BEKALE Etienne.

INSPECTION GENERALE DE LA SANTE

- Inspecteur Général : Professeur NGUEMA MVE Raymond, précédemment Directeur Général Adjoint 1 de la Santé.

- Inspecteur Général Adjoint : Dr NZIENGUI MAKITA Daniel, précédemment Directeur Régional de la Santé, en remplacement du Dr ONDO EYENE Catherine.

- Inspecteurs Centraux, Chefs de Division :

• Dr BINGOURE Jean Martin, Chef de Division Médecine.

• Dr BIDONA Bernadette, Chef de Division Pharmacie.

• Dr ABEKE Marc, Pharmacien, Chef de Division Laboratoire.

• Mme NGOLET Chantal épouse BOUHOUAMA, Chef de Division Formation.

• Mme DJEKELE NKOLO Octavie épouse RAOUF, Chef de Division Réglementation et Législation.

• M. SAMEDI Gilbert, Chef de Division Génie Sanitaire et Hygiène Publique.

- Inspecteurs Centraux :

• Dr MENDENE MOZOGO Joseph ;
• Dr BIYOGHO OBAME Grégoire ;
• Mme ADA ENI Denis épouse LORIOT ;
• Dr SOSSA SIMAWANGO.

INSPECTIONS REGIONALES DE SANTE

- Inspecteur de la Région Sanitaire de l’Estuaire : Dr ABOGHE MENGOME Damas.

- Inspecteur de la Région Sanitaire du Sud-Est (Haut-Ogooué) : M. ECKEMBE KOUMANGOYE Mathurin.

- Inspecteur de la Région Sanitaire du Sud (Nyanga) : M. MOMBO DITSOGA Jean Grégoire, précédemment Directeur Général Adjoint des Ressources Humaines.

- Inspecteur de la Région Sanitaire de l’Ogooué-Maritime : M. MPIGA Alain.

- Inspecteur de la Région Sanitaire du Nord (Woleu-Ntem) : M. ABESSOLO MENGUE Prosper.

CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE LIBREVILLE

DIRECTION GENERALE

- Directeur Général Adjoint 1 : M. ANGOUE NKOGHE David Nestor.

- Directeur Général Adjoint 2 : Dr MAKAYA Augustine Paulette, précédemment Directeur des Affaires Médicales du CHUL, en remplacement de Mme MOUNGUENGUI Gisèle.

- Directeur des Affaires Médicales : Mme MOUANGUE Gertrude épouse MINSO.

- Directeur Technique : M. IBANDOU Ludovic.

CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE D’ANGONDJE

INSTITUT DE CANCEROLOGIE

- Directeur : Professeur BELEMBAOGO Ernest.

HOPITAL UNIVERSITAIRE D’ANGONDJE

DIRECTION DES AFFAIRES FINANCIERES

- Directeur : Mme OVONO BETOE Chantal.

DIRECTION DES AFFAIRES MEDICALES

- Directeur : Professeur ATEGBO Simon.

CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE D’OWENDO

DIRECTION GENERALE

- Directeur Général : M. MATSOUPA Aimé Christian.

- Directeur Général Adjoint : Professeur MWANYOMBET OMPOUNGA Lucien.

- Directeur des Affaires Médicales : Dr MAMBANA Clément.

- Directeur des Ressources Humaines : Mme ELAGA Joséphine.

HOPITAL DE LA COOPERATION SINO-GABONAISE DE LIBREVILLE

- Directeur Général : Mme MOUNGUENGUI Gisèle, précédemment Directeur Général Adjoint 2 du Centre Hospitalier Universitaire de Libreville, en remplacement de M. MBOUMBA Paul Timothée II.

HOPITAL SPECIALISE DE NKEMBO

- Directeur Administratif et Financier : M. BOUSSAMBA MABIKA Jean Marie.

SERVICE D’AIDE MEDICALE D’URGENCE

- Directeur : Dr SOAMI Vladimir.

INSTITUT NATIONAL DE FORMATION ET D’ACTION SOCIALE ET SANITAIRE

- Directeur Général : M. KEBA MOUKOUMI Anasthase, en remplacement de M. ASSONGO Léonard.

- Secrétaire Général : M. EGNINA NDOMBI Dieudonné.

CENTRE HOSPITALIER REGIONAL AMISSA BONGO DE FRANCEVILLE

- Directeur des Affaires Médicales : Dr MOTELE TSIBA Jean.

- Directeur des Soins Infirmiers : Mme NTSAME Flavienne.

CENTRE HOSPITALIER REGIONAL GEORGES RAWIRI DE LAMBARENE

- Directeur Général : M. MBOUMBA Paul Timothée II, précédemment Directeur de l’Hopital de la Coopération Sino-Gabonaise de Libreville, en remplacement de M. MOMBO MOUNGUENGUE Edouard.

CENTRE HOSPITALIER REGIONAL DE MOUILA

- Directeur des Affaires Médicales : Dr NZENGUE-A-KASSA Youssouf.

- Directeur des Soins Infirmiers : Mme NDZOUBA Julienne.

CENTRE HOSPITALIER REGIONAL DE TCHIBANGA

- Directeur Général : M. BOUNANG POMBA Yves Armand.

CENTRE HOSPITALIER REGIONAL DE MAKOKOU

- Directeur Général : M. BOUDAMA MADIYA Bernard.

CENTRE HOSPITALIER REGIONAL PAUL MOUKAMBI DE KOULA-MOUTOU

- Directeur des Affaires Médicales : Dr EDOU Apollinaire.

- Directeur des Soins Infirmiers : Mme MOUMBANGOU Félicité.

CENTRE HOSPITALIER REGIONAL D’OYEM

- Directeur Général : M. MOMBO MOUNGUENGUE Edouard, précédemment Directeur du Centre Hospitalier Régional Georges RAWIRI de Lambaréné, en remplacement de M. OYONO BEKALE Etienne.

- Directeur des Affaires Médicales : Dr NGUEMA MENIE.

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Conseil des Ministres du 02 Mai 2013
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Premier marathon international de Libreville prévu du 30 novembre au 1er décembre 2013

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Libreville, Lundi 06 mai 2013 - Le Gabon, pays situé à l'ouest de l'Afrique équatoriale, véritable écrin de la biodiversité végétale et animale, vous invite à découvrir tout le charme de Libreville, sa capitale, à travers une course unique, le Marathon du Gabon.

Paragraphe 1: 

Cette compétition sera organisée durant le week-end des 30 novembre et 1er décembre 2013.

Manifestation dédiée à toute la famille, il proposera cinq courses au coeur de la capitale du pays : courses Enfants (1 à 3 km), La Gabonaise (5 km), 10 km, Semi-Marathon et Marathon. 5 000 participants et plus de 20 000 spectateurs y sont attendus.

Titre paragraphe 2: 
Un événement éco-conscient
Paragraphe 2: 

La forêt gabonaise étant le deuxième poumon vert de la planète, le Marathon International du Gabon se doit d’être un événement éco-conscient. Valeur qui a trouvé spontanément un écho chez Olam, notre partenaire officiel.

Une charte écologique pour les coureurs et les organisateurs sera mise en place afin de limiter l'impact environnemental d'une telle compétition.

Paragraphe 3: 

Le premier Marathon International du Gabon, qui bénéficiera d’une importante campagne de promotion nationale et internationale, proposera un Village Marathon, un espace VIP, un espace dédié aux entreprises, un chapiteau avec physiothérapeutes, des animations, concerts…

Paragraphe 4: 

« Deux jours qui s’inscrivent d’ores et déjà comme un rendez-vous sportif incontournable pour tous et qui représentent une opportunité pour les entreprises de renforcer leur communication interne et d’inviter leurs clients, fournisseurs et partenaires », déclarent les organisateurs du Marathon International du Gabon.

Un événement unique dans un environnement unique !

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Premier marathon international de Libreville prévu du 30 novembre au 1er décembre 2013
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Ali Bongo Ondimba s’adresse aux marcheurs contre les crimes rituels : la perpétuité pour les fétichistes sanguinaires

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Libreville, le 11 mai 2013 – Le Président Ali Bongo Ondimba s’est adressé aux milliers de participants de la marche contre les crimes rituels, arrivés au terme d’un parcours de 6 km devant le palais présidentiel. Renforcement de la présence et des moyens de la Police, accélération du cours de la justice – « notre rempart à tous » -, appel à une modification du Code pénal pour qu’auteurs, complices et commanditaires soient promis à la prison à perpétuité sans remise de peine : le Chef de l’État dit ‘stop’, « les barbares ne gagneront pas, les barbares de l’emporteront pas ».

Paragraphe 1: 

Le peuple du Gabon était dans la rue ce samedi pour une mobilisation sans précédent, un cri collectif de dégoût devant l’irrationnel, pour exprimer sa révolte face aux assassinats atroces qui forment la chronique d’une terreur nationale. Parti du rond-point de la Démocratie, le cortège extrêmement dense, tantôt recueilli, tantôt bruyant de colère, a rejoint le bord de mer pour se diriger ensuite vers le palais présidentiel où une estrade avait été dressée. Là, debout, droit, tendu par la détermination et porté par l’énergie de tous, Ali Bongo Ondimba a prononcé des mots pour l’histoire : « Votre mobilisation est un cri de colère et de douleur, en même temps qu’un formidable espoir. Espoir dans notre capacité à nous indigner et à dire ‘Non’. Espoir dans notre capacité à relever la tête et à dire ‘Stop’. Il n’y aura pour les assassins, comme pour les commanditaires, aucune forme de clémence. Nous devons bouter l’impunité hors de nos mentalités et hors de notre pays ».

Titre paragraphe 2: 
La responsabilité et l’action
Paragraphe 2: 

Organisée par l’Association de lutte contre les crimes rituels et les communautés religieuses, autorisée in fine par le Ministère de l’Intérieur, la marche a mêlé les pas et les chants de tous les Gabonais unis dans un choeur triste et indigné. Trop de vies volées, de corps dépecés, d’organes humains prélevés. Le supplice doit prendre fin : « Les barbares ne l’emporteront pas » a prévenu le Président de la République. Un langage de fermeté au diapason du discours de condamnation tenu l’avant-veille par l’archevêque de Libreville – « ces crimes honteux et crapuleux » - et par le président du Conseil supérieur des affaires islamiques – « ces pratiques relevant d’un autre âge », tous deux associés à la marche populaire comme également Sylvia Bongo Ondimba, la Première Dame engagée « à titre personnel, libre et sincère dans un combat pour les générations futures, pour préserver la dignité humaine ».

Paragraphe 3: 

Lutter, mais comment ? Premier axe, la sécurité. Le président gabonais souligne que « la peur de l’uniforme doit à nouveau gagner les esprits malfaisants. La Police doit être plus présente dans les quartiers ». « Nous devons également faire évoluer notre législation. Je demande par conséquent au Parlement de mettre à la disposition du Gouvernement tout l’arsenal législatif nécessaire, et de procéder aux ajustements budgétaires qui s’imposent, pour une plus grande efficacité de nos forces de police et de gendarmerie ».

Titre paragraphe 4: 
Une justice équitable
Paragraphe 4: 

Plus que jamais attentif aux inquiétudes du corps social, à ce sentiment « que la justice est sourde à la douleur, que la justice ne frappe et ne punit que les voleurs de poules », Ali Bongo Ondimba dit haut et fort « cela ne peut plus continuer ». « Car la justice doit être notre rempart à tous », le miroir de l’égalité que l’on soit riche ou pauvre, sans géométrie variable. Et de demander au Parlement « de doter les juridictions de moyens budgétaires conséquents, et de faire en sorte que les délais d’enquête et de jugement soient raccourcis ». Pour les auteurs de crimes de sang à but fétichiste, « aucune circonstance atténuante, aucune forme de clémence ».

Titre paragraphe 5: 
La perpétuité sans remise de peine
Paragraphe 5: 

Appelant enfin ses compatriotes à s’unir pour vaincre la peur et combattre les criminels, auteurs et commanditaires, prenant la mesure de l’effroi national, le Chef de l’État demande au Gouvernement et au Parlement de procéder, avant la fin de la session des lois en cours, à la modification des dispositions du code pénal. « Les auteurs des crimes de sang avec prélèvement d’organes devront encourir la condamnation à perpétuité, sans aucune possibilité de remise de peine. Ces mêmes peines seront appliquées aux complices et aux commanditaires éventuels ».

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Le Président Ali Bongo Ondimba s’est adressé aux milliers de participants de la marche contre les crimes rituels, arrivés au terme d’un parcours de 6 km devant le palais présidentiel.
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Ali Bongo Ondimba félicite la « fusée verte » Aubameyang

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Libreville, le 14 mai 2013 – Le Président Ali Bongo Ondimba adresse ses félicitations à Pierre-Emerick Aubameyang, sacré meilleur joueur africain de L1 en France.

Paragraphe 1: 

Ali Bongo Ondimba félicite chaleureusement Pierre-Emerick Aubameyang, qui vient d’être distingué par le Prix Marc-Vivien Foé RFI - FRANCE 24 du meilleur joueur africain évoluant dans le championnat de France de Ligue 1 durant la saison 2012-2013. L’attaquant gabonais de l'ASSE devance au classement le défenseur camerounais Nicolas Nkoulou (Olympique de Marseille) et l’attaquant burkinabé Jonathan Pitroipa (Stade Rennais FC).

Paragraphe 2: 

« Ses qualités techniques, ses intuitions fulgurantes, sa vélocité, sa capacité à tenir sous la pression dans les plus grands stades du monde, font de lui un joueur d’exception», souligne le Chef de l’État. « Cet enfant du Gabon né à Laval, fils de l’international Pierre-François Aubameyang qui remporta la Coupe de l’Udeac en 1985, fait la fierté de tous les Gabonais. Il est également, par son travail et son talent, l’exemple même de l’engagement et de la réussite ».

Paragraphe 3: 

Pierre-Emerick Aubameyang a marqué les esprits cette saison et obtenu de nombreux votes de la part des 68 journalistes qui devaient se prononcer. Avec 209 points, il devance aisément le Camerounais Nicolas Nkoulou qui évolue à Marseille (81 points), et le Burkinabè Jonathan Pitroipa qui a fait les beaux jours de Rennes en début de saison (35 points).

Paragraphe 4: 

Pierre-Emerick Aubameyang devrait être très courtisé lors du prochain mercato, étant le deuxième meilleur buteur du championnat de France avec 19 réalisations, devancé par le seul Zlatan Ibrahimovic. Fer de lance des Verts, il a été titularisé à 34 reprises en Ligue 1 cette saison et a remporté la Coupe de la Ligue, le premier trophée conquis par l’AS Saint-Etienne depuis 32 ans.

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Le Président, Pierre-Emerick Aubameyang et Pierre-François Aubameyang pendant la CAN 2012
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Le Président Ali Bongo Ondimba adresse ses félicitations à Pierre-Emerick Aubameyang, sacré meilleur joueur africain de L1 en France.
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Conférence de presse du porte-parole de la présidence du vendredi 17 mai 2013

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ORDRE DU JOUR
Chapeau: 

Actualités internationalesI/- Visite de M. Michel DJOTODIA Président de la transition en République Centrafricaine le mercredi 15 mai 2013II/- Visite du Vice-Président kényan, M. William RUTO au Président Ali BONGO ONDIMBA le 16 mai 2013Actualité NationaleIII/- Adresse du Président de la République, Chef de l’Etat aux ONGs et congrégations religieuses au terme de la marche contre les crimes de sang le samedi 11 mai 2013IV/- Le Chef de l’Etat salue les performances individuelles des athlètes gabonais à l’étranger Agenda présidentielV/- Participation du Chef de l’Etat à la célébration du Cinquantenaire de l’Union Africaine à Addis Abeba du 24 au 25 mai 2013VI/- 2ième édition du New York Forum Africa, le 14 juin 2013VII/- Célébration du Centenaire de l’arrivée du Dr Albert SCHWEITZER à Lambaréné, le 06 juillet 2013

Titre paragraphe 1: 
I/- Visite de M. Michel DJOTODIA, Président de la transition en République Centrafricaine le mercredi 15 mai 2013
Paragraphe 1: 

Le Mercredi 15 mai 2013, le Président de la République, Chef de l’Etat, son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a accordé une audience à Monsieur Michel DJOTODIA, Président de la transition en République Centrafricaine.

Cette visite du Président de la transition en République Centrafricaine rendre dans le cadre d’une tournée qu’il entreprend auprès des Chefs d’Etat de l’espace CEMAC dans la recherche de solutions de normalisation de la situation qui prévaut en République sœur de Centrafrique.

Il faut rappeler que le Gabon dispose de troupes sur place depuis 1994, et qui participent aux efforts de stabilisation politique, militaire et sécuritaire de la République Centrafricaine.

La rencontre de Libreville a donc permis aux deux hommes de faire le point de la situation et d’aborder la question du braconnage, s’agissant de la politique de préservation de certaines espèces animales dans laquelle nos deux pays sont engagés.

A ce sujet, le Président de la transition en République Centrafricaine a eu un entretien avec les responsables de l’Agence Nationale des Parcs Nationaux qui lui ont présenté les actions menées et les moyens mis en œuvre par le Gabon dans la lutte contre le braconnage et dont pourrait s’inspirer la République Centrafricaine.

Titre paragraphe 2: 
II/- Visite du Vice-Président kényan au Président Ali BONGO ONDIMBA le 16 mai 2013
Paragraphe 2: 

Le Président Ali BONGO ONDIMBA a également reçu le jeudi 16 mai 2013 cette fois-ci, Son Excellence Monsieur William RUTO, Vice Président de la République du Kenya, à quelques jours de la célébration du Cinquantenaire de l’Union Africaine.

Cette rencontre a permis aux deux hommes de faire le tour de la coopération bilatérale entre le Kénya et le Gabon.

Il est important de rappeler que le Gabon s’est engagé dans la diversification de son économie, notamment dans les secteurs des nouvelles technologies de l’information, et du tourisme, deux secteurs clés de l’économie kényanne.

Le Gabon regarder de près l’exemple kényan dans ces domaines, tout comme il entend observer l’expérience de ce pays frère dans la lutte contre le braconnage et la lutte contre la piraterie maritime.

Sur la question de la piraterie maritime, il est nécessaire de souligner que les pays du Golf de Guinée doivent se montrer extrêmement prudents, en même temps qu’ils doivent porter un regard attentif sur cette question dans une zone potentiellement riche et particulièrement fréquentée.

Titre paragraphe 3: 
III/- Adresse du Président de la République, Chef de l’Etat aux ONGs et congrégations religieuses au terme de la marche contre les crimes de sang le samedi 11 mai 2013
Paragraphe 3: 

Le 11 mai 2013, Le Président Ali BONGO ONDIMBA s’est adressé aux milliers de participants à la marche organisée par les religieux, les ONG et les associations de lutte contre les crimes dits rituels.

Au cours de son adresse, le Président de la République a condamné avec la plus grande fermeté les dérives criminelles observées ces derniers temps, sous quelque forme qu’elles soient.

S’agissant particulièrement des crimes de sang avec prélèvement d’organes, le président de la République a appelé à une modification du Code pénal pour que les auteurs, les complices et les commanditaires éventuels de ces actes honteux et barbares encourent des condamnations à perpétuité sans possibilité de remise de peine.

Il a par conséquent demandé au Parlement « de doter les juridictions de moyens budgétaires conséquents, et de faire en sorte que les délais d’enquête et de jugement soient raccourcis », en procédant dans les plus brefs délais aux modifications de notre Code de Procédure Pénale pour adapter la réponse des pouvoirs publics aux enjeux de la situation.

Sur le plan sécuritaire, le président de la République a indiqué que « la peur de l’uniforme doit à nouveau gagner les esprits malfaisants. La Police doit être plus présente dans les quartiers ».

Il a par conséquent demandé « au Parlement de mettre à la disposition du Gouvernement tout l’arsenal législatif nécessaire, et de procéder aux ajustements budgétaires qui s’imposent, pour une plus grande efficacité de nos forces de police et de gendarmerie ».

Titre paragraphe 4: 
IV/- Le Chef de l’Etat salue les performances individuelles des athlètes gabonais à l’étranger
Paragraphe 4: 

Le Président de la République a adressé ses félicitations à Pierre-Emerick Aubameyang, qui vient d’être distingué par le Prix Marc-Vivien Foé RFI - FRANCE 24 du meilleur footballeur africain évoluant dans le championnat de France de Ligue 1 pour le compte de la saison 2012-2013.

Il faut rappeler que cette consécration arrive après que notre compatriote ait déjà été vainqueur de la coupe de la ligue cette même année avec son club l’AS Saint-Etienne, meilleur buteur et meilleur passeur du même club pour la saison 2011/2012 avec 18 buts et 6 passes décisives.
Pour « ses qualités techniques, sa vélocité, sa capacité à tenir sous la pression dans les plus grands stades du monde », Pierre-Emerick Aubameyang est un joueur d’exception qui fait la fierté de tous les gabonais et représente, a souligné le Chef de l’Etat, « l’exemple même de l’engagement et de la réussite ».

C’est l’occasion de rendre également hommage à nos sportifs de haut niveau qui font la fierté de notre nation à travers le monde.

C’est le cas d’Anthony OBAME qui vient d’être désigné Numéro 1 mondial par la WTF « Fédération Mondiale de Taekwondo » dans la catégorie des plus de 87 kgs, après avoir été vice-champion olympique en 2012.

Ce titre est la plus haute distinction obtenue par un sportif gabonais à ce jour.

C’est également le cas de Stéphane Lasme, notre compatriote évoluant au club de basket-ball du Panathinaikos en Grèce, qui a été élu meilleur défenseur de l’Euroligue équivalent au basket-ball de la ligue des champions de football. Il devient ainsi le 4e joueur de l’histoire à remporter ce trophée et le premier non Européen.

C’est aussi l’occasion de saluer notre compatriote la basketteuse Géraldine Yema Robert qui joue avec le club de Montpellier, élue Meilleure Joueuse française de la saison en première division française.

Titre paragraphe 5: 
V/- Participation du Chef de l’Etat à la célébration du Cinquantenaire de l’Union Africaine à Addis Abeba du 24 au 25 mai 2013
Paragraphe 5: 

Le Président de la République, Chef de l’Etat se rendra du 24 au 25 mai 2013 à Addis Abeba en Ethiopie, dans le cadre de la célébration du Cinquantenaire de l’Union Africaine, dénommée Organisation de l’Unité Africaine (OUA) jusqu’en 1999.

A l’instar des autres Chefs d’Etats du continent africain, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA prendra part aux activités marquant les 50 ans de cette institution qui a placé l’année 2013 sous le thème « Panafricanisme et Renaissance Africaine ».

Titre paragraphe 6: 
VI/- Deuxième édition du New York Forum Africa, le 14 juin 2013
Paragraphe 6: 

La capitale gabonaise abritera la deuxième édition du New York Forum Africa du 14 au 16 juin 2013. Cette édition qui réunira plusieurs centaines de leaders internationaux du monde des affaires dont de nombreux Prix Nobel, aura pour tâche majeure d’explorer les étapes à suivre dans la mise en place d’un plan d’action concret, pertinent et évolutif en vue d’attirer, de retenir et d’accroître les investissements directs étrangers en République Gabonaise.

Une part importante de la présente édition sera accordée à la participation des PME et PMI gabonaises. Un accent particulier sera mis sur l’importance du tissu économique africain, en particulier les Petites et Moyennes Entreprises qui représentent 90% du secteur privé sur le continent.

Contrairement à la dernière édition, celle de cette année verra plusieurs innovations introduites à savoir :

  • L’intégration à la communauté présente en 2012, des chefs d’entreprises affirmées, des grands investisseurs internationaux ;
  • L’introduction de thèmes nouveaux à l’image de la nouvelle économie, de l’innovation technologique etc ;
  • La présence d’un grand nombre d’intervenants et de participants de pays qui n’étaient jamais venus investir en Afrique ;
  • La création d’une place d’affaires afin d’éviter que le forum ne se résume à des échanges strictement intellectuels.
Titre paragraphe 7: 
VII/- Célébration du Centenaire de l’arrivée du Dr Albert SCHWEITZER à Lambaréné, le 06 juillet 2013
Paragraphe 7: 

Le Gabon célèbrera du 06 au 08 juillet 2013 dans la capitale de la province du Moyen-Ogooué, le Centenaire de l’arrivée du Docteur Albert SCHWEITZER à Lambaréné.

Cette célébration verra la participation de nombreuses personnalités gabonaises et étrangères aux côtés du Président de la République, Chef de l’Etat, qui s’est rendu il y a quelques temps à Lambaréné pour évaluer l’état d’avancement des différents chantiers lancés à l’occasion de la célébration du Centenaire.

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Voici la conférence de presse du porte-parole de la présidence du vendredi 17 mai 2013
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Conférence
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Communiqués
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Appui de l’ANPN du Gabon pour la mise en place d’un cadre juridique, institutionnel et opérationnel de gestion des aires protégées de RCA

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À son arrivée au Gabon, le mercredi 14 mai 2013, le président de la transition en République centrafricaine, SE Michel Djotodia a été reçu par le président gabonais, SE Ali Bongo Ondimba. Entre autres questions importantes, Michel Djotodia a sollicité et obtenu le soutien du Gabon pour réorganiser le système de gestion du réseau d'aires protégées de la République centrafricaine, actuellement menacé par le braconnage d'éléphants à grande échelle.

Titre paragraphe 1: 
26 éléphants massacrés
Paragraphe 1: 

Au moins vingt-six éléphants ont été tués dans le parc national Dzanga Sangha au début du
mois dans la forêt de Dzanga Bai, un site du patrimoine mondial dans le sud-ouest de la
République centrafricaine. Le "Dzanga Bai" est une grande clairière de forêt, unique au
monde, où entre 50 et 200 éléphants se rassemblent tous les jours pour puiser les sels
minéraux présents dans le sol.

« La première fois que j'ai visité Dzanga Bai, j'ai été immédiatement captivé par l'une des
merveilles naturelles les plus fascinantes du monde », déclare le professeur Lee White,
secrétaire exécutif de l'ANPN. « C'est un de ces endroits que chaque être humain devrait avoir vu une fois dans sa vie. Il est officiellement reconnu comme un site du patrimoine mondial, et notre monde ne serait plus le même si nous perdions un trésor naturel tel que le Dzanga Bai ».

Ces dernières semaines, cette région a connu une pression de braconnage si intense que la loi et l'ordre n’ont pu être maintenus dans le pays. Certaines de ces attaques sont aussi le fait des braconniers locaux qui ont profité de la situation.

Une délégation de l'ANPN dirigée par Mike Fay, le conseiller spécial du président de la République gabonaise qui a participé à la classification du parc national de Dzanga-Ndoki il y a 30 ans, a été envoyée le jeudi 16 mai à Bayanga en RCA afin de travailler avec le gouvernement sur une stratégie pour sécuriser la zone et rétablir les activités de conservation.

La délégation a indiqué aussitôt que la sécurité était actuellement revenue dans la zone. Le travail de restauration de la protection du parc et de sa richesse doit être entamé sans tarder.

« Il faut immédiatement lancer des actions de protection et appuyer les capacités des agents » indique Richard Ruggiero, du Service de la Vie sauvage du gouvernement américain (US Fish and Wildlife Service). « En protégeant les éléphants, on protège les populations locales par la création de pôles de bonne gouvernance. La coopération internationale vient en aide aux humains comme aux animaux ».

Titre paragraphe 2: 
Partager l'expérience de l'Agence Nationale des Parcs du Gabon
Paragraphe 2: 

La coopération entre le Gabon et la République centrafricaine est destinée à promouvoir la gestion des aires protégées :

. Mise en place d'un cadre juridique et institutionnel qui réponde aux défis posés par la gestion et le développement des aires protégées. Le Gabon va accompagner la RCA afin d’augmenter sa capacité d’intervention.
. Développement d'une agence nationale des parcs en République centrafricaine.
. Formation du personnel travaillant pour la conservation et la gestion des aires protégées. Sur instruction du président gabonais, des agents de l’ANPN ont rejoint la RCA pour assurer des formations intensives auprès des personnels locaux.
. Programmes d’équipement et de financement durable du système d’aires protégées. L’ANPN a développé une expérience reconnue de la recherche de financements additionnels pour la gestion des parcs gabonais. En RCA, nos équipes proposeront la mise en place des outils indispensables à la pérennité des sanctuaires naturels : plans de gestion, plan de communication, études d’impact, valorisation des services touristiques, intégration des communautés, équipements.

« Cet accord est un excellent exemple de coopération Sud / Sud » insiste le professeur Lee White. L'Afrique a perdu 70% de ses éléphants de forêt en 10 ans et même au Gabon, où nous avons été moins touchés, 30% de nos éléphants ont quand même été tués au cours de cette période. Nous espérons être en mesure d’aider nos collègues en RCA à préserver Dzanga-Sangha, qui est l'une des zones protégées les plus importantes en Afrique, et à restaurer les autres zones protégées qui étaient autrefois la fierté et la joie du pays ».

Le président gabonais Ali Bongo Ondimba a exprimé l'espoir que les organisations sous régionales de coopération et de préservation de l'environnement (CEEAC, COMIFAC, RAPAC) et des organisations non gouvernementales de conservation accompagnent le Gabon et la République centrafricaine pour répondre à ce défi.

« Il y a un lien direct entre l’ivoire tâchée de sang (blood ivory) et la stabilité en Afrique. Ainsi ce drame dépasse la simple question de l’environnement » affirme le président gabonais. Nous devons tous travailler ensemble pour restaurer la bonne gouvernance en République centrafricaine, protégeant tout à la fois les populations et la biodiversité ».

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Ali Bongo Ondimba inspecte le pont de Kango, bientôt rouvert à la circulation

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Libreville, le 18 mai 2013 – Situé sur l’axe stratégique de la N1, le site du nouveau pont de Kango a reçu ce samedi matin la visite du président gabonais, soucieux de vérifier l’achèvement des travaux. Enjambant le Bokoué, l’ouvrage a été conçu par des ingénieurs italiens pour résister à une pression de 400 tonnes. Le chef de l’État dévoile sur place le projet de doublement de ce pont essentiel pour l’économie nationale.

Paragraphe 1: 

Endommagé en février 2012 par une barge tractée rendue incontrôlable par la force du courant, dégradé par quarante années d’usage sans maintenance, fragilisé par le passage incessant des camions chargés de bois, le pont de Kango revient de loin. Quinze mois après l’effondrement d’une de ses piles, il s’apprête, une fois le goudron bien sec, à accueillir les premiers véhicules. « Je voulais m’assurer que les travaux s’étaient bien déroulés », indique Ali Bongo Ondimba en se faisant commenter les plans de construction par le représentant de la société Maeg Costruzioni, un des leaders européens des ouvrages d’art en acier.

Paragraphe 2: 

D’une portée de 78,5 mètres, pesant 350 tonnes, ce pont à travées réticulaires de type Pratt dites en treillis a été conçu à Vazzola en Vénétie et monté au Gabon, pièce par pièce tel un mécano géant, à l’aide de grues surpuissantes. Un chantier complexe opéré par des ingénieurs extrêmement spécialisés, à l’image des travaux de Maeg à Rome pour le pont de la Musique ou en Calabre pour le viaduc de Morano. Correctement entretenu, il devrait tenir au moins cent ans.

Paragraphe 3: 

Présentés au chef de l’État, les résultats des tests de pression pratiqués ces derniers jours témoignent d’une résistance à quelque 400 tonnes, soit dix véhicules lourds de 40 tonnes. Une perspective heureuse pour les opérateurs économiques et les voyageurs contraints depuis de longues semaines à jongler avec les horaires des marées pour une traversée en barge.

Paragraphe 4: 

En échangeant avec les riverains, Ali Bongo Ondimba a pu mesurer l’attente, et parfois l’impatience, des populations. Au même titre que les routes, les ouvrages d’art sont des biens publics auxquels il convient d’apporter le soin nécessaire : « Il faut reconnaître, souligne le président de la République, que le pont de Kango n’a pas eu droit, dans le passé, à la maintenance nécessaire. Nous allons y veiller et je demande un effort de la part du gouvernement. »

Paragraphe 5: 

A quelques heures du retour à la fluidité de la circulation sur la N1, et puisque gouverner c’est prévoir, Ali Bongo Ondimba annonce au cours de cette visite impromptue l’existence d’un projet de doublement du pont de Kango. «C’est la route la plus utilisée du territoire. Nous ne voulons plus connaître de tels problèmes. Ainsi allons-nous décider de doubler l’ouvrage. » Le Gabon en route vers l’émergence, fort d’une économie en croissance durable, a besoin d’infrastructures efficientes au diapason d’un développement multipolaire.

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Le site du nouveau pont de Kango a reçu ce samedi matin la visite du président gabonais.
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Transport
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New York Forum Africa : Les entreprises gabonaises édifiées sur les attentes du Président de la République

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Libreville, mardi 21 mai 2013 - A quatre semaines du New York Forum Africa, le Secrétaire général adjoint et coordinateur général du New York Forum Africa, Eric Chesnel, a échangé ce matin à la Présidence de la République avec les responsables de différentes entreprises gabonaises sur leur participation au New York Forum Africa qui se déroulera du 14 au 16 juin prochain.

Paragraphe 1: 

Entouré de Jean-Baptiste Bikalou, président de la Chambre de commerce, d’agriculture, d’industrie et des mines du Gabon, de Nina Abouna , Directrice générale de l’Agence de promotion des investissements et des exportations (APIEX) et de Rachel Ebaneth, Secrétaire générale adjoint du ministère des PME/PMI, Éric Chesnel a détaillé devant les chefs d’entreprises et d’organisations patronales les attentes du chef de l’État. Le président Ali Bongo Ondimba souhaite en effet une participation plus active de la jeunesse, des femmes et surtout des PME/PMI gabonaises alors que près de 500 participants internationaux sont déjà inscrits sur le site internet du New York Forum Africa.

Paragraphe 2: 

La forte représentation des entreprises locales au New York Forum Africa donnera l’opportunité à ces dernières d’être en contact direct avec différents investisseurs internationaux pour la création de partenariats gagnant-gagnant.

Paragraphe 3: 

Cette conférence, inscrite dans le calendrier de préparation du New York Forum Africa, est appelée être renouvelée pour permettre notamment l’identification de potentiels panélistes gabonais à même de faire écho aux panélistes internationaux.

Paragraphe 4: 

La 2ème édition du New York Forum Africa est développée autour de trois thématiques chères au Président de la République : la présence des chefs d’Etats de la CEMAC pour le sommet qui se tiendra en marge du New York Forum Africa ; la forte représentation des PME/PMI et de toutes les entreprises gabonaises ; les opportunités de la nouvelle économie autour du Gabon Vert et du Gabon Bleu.

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Le Président Ali Bongo Ondimba lors du New York Forum Africa 2012
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Le coordinateur général du New York Forum Africa, Eric Chesnel, a échangé avec les responsables de différentes entreprises gabonaises sur leur participation au New York Forum Africa.
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Gabon Emergent
Thème 2: 
Evénements
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Communiqués
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Gabon Emergent

Ali Bongo Ondimba, invité spécial des assemblées de la Banque Africaine de Développement

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Marrakech, le 28 mai 2013 – Le Président de la République, Ali Bongo Ondimba, est arrivé ce mardi 28 mai 2013 à Marrakech pour prendre part aux Assemblées annuelles du groupe de la Banque africaine de développement (BAD). Invité spécial de cette réunion économique majeure du calendrier international, le chef de l’Etat prendra la parole jeudi 30 mai lors de l’ouverture officielle et interviendra ensuite à l’occasion de l’atelier sur le commerce illicite d’espèces de la faune sauvage. La délégation gabonaise comprend notamment les ministres de l’Economie, du Pétrole, de l’Industrie et de la Promotion des investissements.

Paragraphe 1: 

Le Président Ali Bongo Ondimba séjourne dans la ville ocre du royaume chérifien pour la 48ème Assemblée annuelle de la Banque africaine de développement et la 39ème Assemblée du Fonds africain de développement (FAD) qui se tiennent du 27 au 31 mai sur le thème de la “transformation structurelle de l’Afrique”. Seul invité spécial de rang présidentiel de ces Assemblées, avec le président rwandais Paul Kagamé qui sera l’hôte des réunions au sommet de la BAD en 2014, le chef de l’Etat entend promouvoir devant l’élite mondiale de la finance et du développement les vertus du Gabon en route vers l’Emergence, en pleine adéquation avec les conclusions du rapport annuel de la BAD.

Titre paragraphe 2: 
Transformation structurelle et économie verte
Paragraphe 2: 

Pour la Banque, la transformation des économies africaines implique de diversifier et d’étendre les sources de la croissance et les opportunités, de manière à favoriser une productivité accrue pour le développement économique durable et inclusif. « Le défi politique majeur pour l'Afrique aujourd'hui est de trouver les moyens d’élargir l'accès aux opportunités économiques pour une population en expansion, les groupes les plus vulnérables y compris », indiquent les experts de l’institution multilatérale régionale, laquelle comprend 77 pays-membres dont 53 pays africains. «L'Afrique a besoin d’une transformation structurelle pour se propulser vers une croissance inclusive », souligne encore le rapport, qui cite les taux élevés de chômage et de sous-emploi chez les jeunes et les femmes en particulier, comme l'une des principales difficultés auxquelles le continent est confronté aujourd'hui.

« Le coeur de notre message est le suivant : l'Afrique doit accélérer sa transformation structurelle en dopant le potentiel de sa jeunesse, en investissant dans la science, les technologies et l'innovation, en accélérant le rythme de l'intégration économique, en passant à une économie verte, et en soutenant les entreprises du secteur privé ».

Titre paragraphe 3: 
Pour une croissance durable
Paragraphe 3: 

Fort de sa position d’invité spécial des Assemblées de Marrakech, le président Ali Bongo Ondimba s’entretiendra avec le président du Groupe de la BAD, Donald Kaberuka, au sujet de la nouvelle stratégie décennale (2013-2022) qui met l’accent sur la qualité et le caractère durable de la croissance. « Une ambition de transformation réalisable », indique M. Kaberuka. Une stratégie qui s’attache aussi – et c’est une nouveauté – au renforcement de la résilience au changement climatique et à la gestion durable des ressources naturelles.

Paragraphe 4: 

Au coeur du débat économique mondial, en phase avec les enjeux du moment, le Gabon représenté par le Premier Citoyen prendra toute sa place dans le devenir de cette Afrique qui peut se métamorphoser en tirant parti de son immense potentiel dans les domaines fléchés par la BAD :

  • Infrastructures - les besoins de l’Afrique en financement des infrastructures – 390 milliards de dollars environ à moyen terme, surtout pour l'énergie – s’élèvent à des milliers de milliards de dollars sur un plus long terme.
  • Les ressources naturelles - les industries extractives des ressources naturelles en Afrique contribueront annuellement pour plus de 30 milliards de dollars aux recettes publiques au cours des vingt prochaines années, selon les estimations.
  • Démographie - les jeunes constituent la majorité du milliard d’habitants en Afrique. Pour convertir cette “explosion de la jeunesse” en “dividende démographique”, il faudra investir, à grande échelle et comme jamais auparavant, dans les compétences et la création de perspectives professionnelles.
  • Promouvoir l'agriculture - le secteur agricole emploie la grande majorité de la population africaine. Il contribue directement à la chaîne de valeur agro-industrielle, nourrit les zones urbaines, en plus d’être une source de l'épargne des ménages à des fins d’investissement.
  • Le secteur privé - avec le développement des économies africaines, le secteur privé, qui représente 90 % de l'emploi informel, prendra encore plus d’ampleur, en particulier dans l'industrie.
  • Urbanisation - les villes africaines, qui concentraient 40 % de la population du continent en 2010 – un chiffre qui devrait atteindre 50 % en une génération, et 65 % d'ici 2060 – sont, de plus en plus, les moteurs de la demande de consommation et, partant, de la croissance économique.
  • Gouvernance et climat de l'investissement – une amélioration de la gouvernance et de meilleures politiques macro-économiques – réduction de la dette, faible inflation et taux de change stables – sont indispensables, si l’on veut favoriser la compétitivité économique.
  • L'innovation technologique – l’investissement dans les TIC (technologies de l’information et de la communication) en particulier – a considérablement amélioré l'accès du public à l'information, stimulant ainsi une économie du savoir et des approches novatrices en matière de micro-finance et de mobilisation des producteurs ruraux.
Titre paragraphe 5: 
La révolution de l’information
Paragraphe 5: 

Sur le plan de la communication, le Gabon apporte sa voix à la nécessaire intégration régionale de l’information en dépêchant aux Assemblées de la BAD une équipe complète de Gabonews. Le media web-tv, associé à Sahara Media et à la radio marocaine Medi1, diffuse en direct la session Questions d’Afrique depuis son pavillon installé au village des médias, voisinant les grands diffuseurs internationaux. Une première pour un organe de presse gabonais dans le cadre des réunions de la Banque africaine de développement.

Paragraphe 6: 

En mars 2013, la Banque a lancé sa plate-forme Open Data pour le Gabon, portant à quarante le nombre de pays africains connectés. Cette initiative vise à accroître de façon substantielle l’accès à des données de qualité, nécessaires à la gestion et au suivi des résultats de développement. « Elle révolutionnera la diffusion des indicateurs, se félicite la BAD, faisant en sorte que le continent participe pleinement à l’économie mondiale de l’information ».

Paragraphe 7: 

Engagée depuis longtemps au Gabon, la Banque africaine de développement finance à hauteur de plusieurs centaines de millions de dollars des projets routiers de désenclavement. Le projet PR1, rappelle-t-on, fût en son temps le plus important prêt jamais accordé par la BAD à un pays-membre dans le secteur des transports. La BAD a publié un document de stratégie-pays Gabon 2011-2015 en août 2011 qui détaille le positionnement et les programmes de la Banque dans le pays.

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Ali Bongo Ondimba, est arrivé ce mardi 28 mai 2013 à Marrakech pour prendre part aux Assemblées annuelles du groupe de la Banque africaine de développement (BAD).
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Thème 1: 
Economie
Thème 2: 
Banque Africaine de Développement
Typologie: 
Communiqués
Acteur: 
Présidence

Ali Bongo Ondimba s'adresse aux Assemblées de la Banque Africaine de Développement : le continent doit passer de la rente à une économie diversifiée

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Sous-titre: 
De la rente à l’économie diversifiée
Chapeau: 

Marrakech, le 30 mai 2013 – Invité spécial du rendez-vous annuel au sommet de la Banque africaine de développement, le président gabonais a prononcé un discours volontariste devant plusieurs centaines de gouverneurs et de représentants des banques centrales. L’émergence est la « nouvelle frontière » de la prospérité africaine, dans une optique durable.

Titre paragraphe 1: 
De la rente à l’économie diversifiée
Paragraphe 1: 

Placées sous le Haut patronage de SM le Roi du Maroc, les Assemblées annuelles de la Banque africaine de développement – point focal de la planète Economie-Finances – se sont ouvertes jeudi 30 mai 2013 dans le cadre majestueux de la palmeraie de Marrakech. A la tribune, placé au centre, Ali Bongo Ondimba, entouré du président de la BAD et du Premier ministre ivoirien. Seul chef d’État invité à prendre la parole lors de la cérémonie officielle, le président gabonais est allé droit au but : « l’émergence est la destination, la nouvelle frontière de la prospérité pour notre continent. (…) Ce n’est pas un slogan ou un effet de mode, mais plutôt la voie appropriée pour sortir d’une croissance économique faible, erratique et essentiellement tirée par les matières premières ».

Paragraphe 2: 

Au fil de son intervention, déclinant « sa vision pour l’Afrique », le président Ali Bongo Ondimba identifie trois défis majeurs, comme autant d’objectifs imposés à ceux qui veulent être – comme le dira aussi Donald Kaberuka, le président de la BAD – « à l’heure de l’Afrique » : l’accélération de la croissance économique et la diversification des ressources, la réduction de la pauvreté et des inégalités sociales, la nécessité d’assurer une gestion durable des ressources naturelles pour les générations futures.

Paragraphe 3: 

Ainsi faut-il en mutualisant les efforts faire « un effort considérable pour favoriser des pôles économiques de croissance reliés par des infrastructures de qualité ». Pour Ali Bongo Ondimba, l’urgence est là, le défi très clair. « Notre continent doit relever le pari de passer d’une économie de rente à une économie à valeur ajoutée et diversifiée ».

Titre paragraphe 4: 
Priorité aux infrastructures
Paragraphe 4: 

La BAD travaille justement à la mise en place d’un nouveau mécanisme de mobilisation de ressources financières. Un fonds dédié, avec un capital initial de 10 milliards de dollars, visera à terme le drainage d’un flux de 100 milliards afin de couvrir les besoins financiers pour la concrétisation du Programme de développement des infrastructures africaines (PIDA). Le président de la BAD, Donald Kaberuka indique que les 10 milliards de lancement « ne représentent que 2% des réserves de change cumulées de l’Afrique ».

Paragraphe 5: 

Loin des prophéties auto-réalisatrices, le projet est donc réalisable. Les besoins de l’Afrique en financement des infrastructures – 390 milliards de dollars environ à moyen terme, surtout pour l'énergie – s’élèvent à des milliers de milliards de dollars sur un plus long terme.

Quelque 3000 personnalités venues d’une centaine de pays d’Afrique, des Amériques, d’Asie-Pacifique et d’Europe prennent part à ces Assemblées « historiques » de la BAD - qui marquent l’offensive diplomatique du Maroc sur la scène continentale -, celles du temps des bâtisseurs. Longtemps perfusée par l’aide internationale, l’Afrique affiche une croissance globale (env. 5%) jalousée par les anciennes puissances. Pour le Gabon en route vers l’Émergence, le rendez-vous s’imposait comme une évidence.

« Au cours de la dernière décennie, souligne la BAD, six des dix économies les plus dynamiques du monde se trouvaient en Afrique ; sur huit des dix dernières années, l’Afrique a eu une croissance plus rapide que l’Asie de l’Est, Japon compris ». Selon l’Institut McKinsey, « le PIB réel en Afrique a augmenté deux fois plus vite depuis l’an 2000, que dans les années 80 et 90 ».

Titre paragraphe 6: 
Le Gabon en lumière
Paragraphe 6: 

Pour le président de la République, la tribune est idéale : au coeur d’une communauté économique et financière pesant des milliards de dollars, Ali Bongo Ondimba se fait l’ambassadeur des atouts gabonais, le pédagogue d’une vision du progrès fondée sur la capacité de l’homme à s’emparer de son histoire, à faire face aux exigences du destin national et aux enjeux régionaux.

L’intégration des grandes aires commerciales est ainsi la préoccupation du moment : avec 3% du commerce intra régional, la zone CEEAC d’Afrique centrale apparaît comme la plus faible du continent, derrière l’UMA du Maghreb (6%), le COMESA d’Afrique orientale (12%), la CEDEAO à l’ouest (28%) et le géant austral de la SADC (51%).

La stratégie à long terme de la BAD Intègre cinq domaines prioritaires liés à l’amélioration de la croissance en Afrique. Il s’agit du développement des infrastructures, de l’intégration économique régionale, du développement du secteur privé, de la gouvernance et la responsabilisation, et du développement des compétences et de la technologie.

Et deux objectifs soutenant la transformation historique : la croissance inclusive et la transition vers la croissance verte. Autant de parallèles et de correspondances avec le Plan Stratégique Gabon Émergent, présenté à Marrakech par le chef de l’État.

Titre paragraphe 7: 
L’Homme au coeur du développement
Paragraphe 7: 

Ces Assemblées 2013 resteront celles de la révolution ‘copernicienne’ de la Banque africaine de développement, un mouvement porté par l’opinion mondiale, un changement de paradigme, en deux mots la Croissance Verte. A la suite des programmes liés au fameux pilier de développement du Gabon Vert – que l’on observera comme un précurseur -, l’Afrique entière est incitée par la Banque à embrasser son destin durable.

Pour le président Ali Bongo Ondimba, voici l’occasion - le Gabon ayant fait son choix -, « d’inviter l’Afrique à s’engager dans la voie de la responsabilité en conciliant la valorisation de ses ressources dans une optique de gestion durable ». L’ancien modèle de développement ? « Il n’est pas porteur, car il ne valorise point les richesses pour les générations actuelles et compromet les perspectives de développement pour les générations futures ».

« C’est l’heure de l’Afrique, saisissons notre chance », lancera encore Donald Kaberuka. Ce moment, cette « chance », appelle le courage et la détermination. Pour Ali Bongo Ondimba, « il faut s’appuyer sur une population éduquée, ouverte et tolérante, terreau d’une classe moyenne, catégorie sociale qui sera majoritaire à l’horizon 2025 ».

« Il est désormais impératif de placer l’Homme au coeur de notre développement, afin d’assurer un développement durable et une prospérité pour tous ».

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Invité spécial de la Banque africaine de développement, le président gabonais a prononcé un discours volontariste devant plusieurs centaines de gouverneurs et de représentants.
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Thème 1: 
Ali Bongo Ondimba
Thème 2: 
Banque Africaine de Développement
Typologie: 
Communiqués
Acteur: 
Présidence

Ali Bongo Ondimba : la voix du Gabon au TICAD V

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Chapeau: 

Vendredi 31 mai 2013, Yokohama - Le Président Ali Bongo Ondimba est attendu ce soir au Japon pour prendre part à la cinquième édition de la TICAD, la Conférence Internationale de Tokyo sur le Développement Africain (Tokyo International Conference on African Development).

Paragraphe 1: 

Après la Tribune de l’AG de la BAD, où il a livré sa vision macroéconomique de l’Afrique, le Chef de l’Etat gabonais retrouvera ses pairs du continent et s’exprimera avec son franc-parler et son volontarisme connus sur les diverses questions thématiques inscrites à l’ordre du jour.

Paragraphe 2: 

Ali BONGO ONDIMBA se prononcera notamment sur le renforcement des bases sectorielles pour la croissance en Afrique, sur le secteur privé, le commerce et les investissements comme moteurs du développement et aussi sur l’emploi des jeunes. Ces diverses interventions seront suivies de débats.

Paragraphe 3: 

La TICAD, dont la première édition a eu lieu en 1993, est une rencontre qui se tient tous les cinq ans en vue de promouvoir et de consolider le dialogue au niveau le plus élevé entre les leaders africains et les partenaires au développement du continent. Initiée par le Japon dans le but d’attirer l’attention de la communauté internationale sur l’importance et l’urgence des questions de développement de l’Afrique, cette rencontre est un moment fort de la prise en charge par l’Afrique de son propre avenir qui passe par le partenariat avec le reste du monde, notamment avec l’Asie.

Paragraphe 4: 

Le Gabon, par son implication et sa participation constantes à la réflexion et aux actions retenues, reste fidèle à une démarche et à ses engagements.

Paragraphe 5: 

Pour rappel, Libreville a accueilli en mars 2008, la réunion ministérielle de la TICAD IV (28-30 Mai 2008).

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Après la BAD, le Président Ali Bongo Ondimba se rend à la Ticad à Tokyo
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Asie
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Communiqués
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Diplomatie économique au menu du diner du Président ALI BONGO ONDIMBA avec le Patronat Japonais

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Aussitôt arrivé en soirée à Yokohama pour la TICAD V qui se tient du 1er au 3 juin 2013, le Président de la République gabonaise a annoncé la couleur et imprimé le rythme de son séjour en terre nippone en rencontrant immédiatement des hommes d’affaires, représentatifs du patronat japonais en présence de deux Ministres du cabinet du Premier Ministre et du Directeur du Département Afrique au ministère de l’Industrie et de l’Economie.

Paragraphe 1: 

Entouré du Ministre des Affaires Étrangères Emmanuel Issoze Ngondet et de quelques collaborateurs, le Président de la République reste fidèle à la mise en place d’une stratégie de rencontres systématiques des hommes d’affaires des pays visités afin de les encourager à venir investir au Gabon.

Ce faisant, comme l’a synthétisé le Ministre Emmanuel Issoze Ngondet, il s’agit d’une politique concentrée sur la recherche des moyens de développement du Gabon qui ambitionne de devenir un pays émergent à l’horizon 2025.

Le Chef de l’Etat aura eu une oreille attentive et un réel intérêt de sociétés comme Mitsubishi et autres, intervenant dans divers domaines et par les opportunités énormes qu’offre le Gabon.

Ces domaines d’intervention et d’intérêt concordent avec ceux qui sont inscrits au coeur du programme économique du Président de la République avec l’option de diversification des partenariats en vue de développer ces secteurs clés du Gabon qui ont pour nom : les infrastructures, le secteur pétrolier, le gaz, la production d’énergie, les mines, l’environnement.

La partie japonaise, dont certains interviennent déjà au Gabon rappellera le très bon souvenir de la participation du Président Ali Bongo Ondimba au Sommet de Nagoya en 2010.

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Le Gabon en faveur d’une mobilisation mondiale contre le braconnage

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Marrakech, le 31 mai 2013 – Ali Bongo Ondimba, invité spécial des Assemblées annuelles de la Banque africaine de développement, tire la sonnette d’alarme : « Le Gabon, comme le reste de l’Afrique, fait l’objet d’une attaque de la part des trafiquants d’animaux ». Premier chef d’État du continent à apporter son soutien à la nouvelle campagne BAD/WWF contre le trafic illicite d’espèces sauvages, le président gabonais demande la création d’un fonds panafricain pour répondre aux crises environnementales.

Paragraphe 1: 

La Banque africaine de développement (BAD) et le WWF lancent un appel conjoint à l’action et à l’engagement des gouvernements et d’autres institutions pour combattre le fléau du trafic illicite d’espèces de faune et de flore sauvages qui pille les ressources naturelles africaines et constitue une menace majeure pour la stabilité et l’économie du continent. Premier engagement, le Gabon. Comme une évidence imposée par l’urgence.

« Nous sommes attaqués, l’Afrique est attaquée », prévient d’entrée de jeu - et avec gravité - le président Bongo Ondimba qui partage la tribune de cette session exceptionnelle de la BAD – modérée par le fondateur du NY Forum Africa Richard Attias - avec le président de l’institution Donald Kaberuka et le directeur général du Fonds mondial pour la nature Jim Leape.

Titre paragraphe 2: 
Une spirale infernale, une menace globale contre la paix
Paragraphe 2: 

« Il ne s’agit pas seulement d’un problème environnemental, souligne-t-il. Les braconniers s’introduisent dans des régions en paix, ouvrant la porte à une spirale de la criminalité et de la souffrance. Ils commencent par tuer les rhinocéros et les éléphants, ensuite ils se rabattent sur le bois et les minéraux, puis deviennent des voleurs, des bandits, et finalement des rebelles. Aujourd’hui, le crime sur la faune sauvage est devenu une menace grave pour la souveraineté et la stabilité de certains de nos pays ». Exemple récent, la République centrafricaine, avec laquelle le Gabon a signé un accord de coopération et de renforcement des capacités en matière de protection de la vie sauvage.

Paragraphe 3: 

L’Agence Parcs Gabon (ANPN) est la seule institution publique africaine de l’environnement représentée aux Assemblées de Marrakech par un stand officiel.

Paragraphe 4: 

Cette « attaque » est également une menace sociale et économique, « un risque pour la santé, une destruction des biens naturels dont dépendent nos citoyens ruraux, un découragement pour les investissements qui freine la croissance de nations entières ». Quelque 60% des éléphants d’Afrique ont été rayés de la carte au cours des dix dernières années. Le Gabon a perdu un tiers de ses troupeaux, « essentiellement le fait d’un braconnage transfrontalier perpétré par des gangs armés jusqu’aux dents ». Confirmation de Jim Leape : « Ce crime a des répercussions sérieuses sur la sécurité nationale, l’état de droit et le bien-être des populations dans toute l’Afrique. Il faut agir maintenant, et au plus haut niveau, pour endiguer cette crise ».

Titre paragraphe 5: 
Une déclaration solennelle à Marrakech
Paragraphe 5: 

Appuyés par le Gabon, la Banque africaine de développement et le Fonds mondial pour la nature publient donc la « Déclaration de Marrakech » qui souligne la nature incontrôlée du trafic illicite d’espèces de faune et de flore sauvages et incite vivement « les pays et leurs citoyens à agir rapidement pour lutter contre le trafic illégal d’espèces de faune et de flore sauvages en Afrique et dans le monde entier ». Un texte qui entend s’assurer que « les suspects appréhendés pour trafic soient traités comme des criminels dangereux ».

Titre paragraphe 6: 
Un fonds spécial pour les crises environnementales
Paragraphe 6: 

Une ‘déclaration’ et la mobilisation des opinions ne suffiront pas. « Nous en appelons à la Banque africaine de développement, insiste Ali Bongo Ondimba, pour qu'elle lance un fonds spécial pour les crises environnementales. Un tel fonds nous aidera à former, à équiper et à mobiliser le personnel de divers services dans le domaine de la faune sauvage et affectés aux parcs nationaux, partout où prévaut une situation qui menace notre patrimoine naturel et culturel. Il devrait également constituer une provision afin de s'occuper des familles des gardes tués ou blessés dans l'exercice de leurs fonctions ; et aussi destinée à éduquer les enfants dans les pays sources et les pays demandeurs sur la menace que pose le crime contre les animaux sauvages pour notre planète ».

Titre paragraphe 7: 
Objectif : porter la cause au niveau mondial
Paragraphe 7: 

Pour le président gabonais, être l’initiateur de ce combat n’est pas une fin en soi. Plutôt le commencement d’un long cheminement. A l’Assemblée générale de l’Onu en septembre, au sommet des chefs d’État que préparent SAR le prince de Galles et le gouvernement britannique, l’action sera une obligation. « Donnez dix ans de paix globale à notre continent, et vous ne reconnaître pas l’Afrique », lance en guise de viatique le président gabonais. « Agissons ! Agissons au nom de nos frères et de nos sœurs. Au nom de ceux que je représente devant vous, ces gardes gabonais qui chaque jour risquent leur vie pour protéger notre patrimoine. Cette Afrique éternelle des forêts et des savanes peuplées d’hommes et d’animaux. Notre seul bien commun ».

Titre paragraphe 8: 
Pour en savoir plus :
Paragraphe 8: 

- Découvrez le discours complet du Président sur le braconnage en cliquant ici.

Paragraphe 9: 
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Le Gabon en faveur d’une mobilisation mondiale contre le braconnage.
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Promotion de l'écotourisme à l'international
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Communiqués
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Présidence

Ticad V : Ali Bongo Ondimba : "le monde ne se fera pas sans une Afrique prospère"

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Samedi 1er Juin 2013, Yokohama - « Le Monde ne se fera pas sans l’Afrique, le Monde ne sera pas en paix sans une Afrique stable, le Monde ne sera pas épanoui sans une Afrique prospère ».

Paragraphe 1: 

C’est sur cette vérité que le Président Ali Bongo Ondimba a conclu son intervention a la séance plénière d’ouverture de la 5 ème édition du TICAD ouverte ce jour à Yokohama en présence des Chefs d’Etat et de Gouvernement, de représentants d’organisations internationales, du monde des affaires, de la société civile , de la presse internationale et de très nombreux invités.

Paragraphe 2: 

Abordant le thème de l’économie solide et durable, Ali Bongo Ondimba a posé un diagnostic lucide et sans complaisance concernant le développement de l’Afrique. Vingt ans après la TICAD 1, cette problématique, toujours d’actualité, semble résonner comme un doute dans notre capacité collective à faire sortir le continent africain de la pauvreté, comme une impuissance dont la conséquence est de faire reculer les frontières de la prospérité à laquelle nos peuples, nos pays respectifs aspirent de manière légitime d’autant plus que la pauvreté endémique de l’Afrique ne repose sur aucune justification logique.

Paragraphe 3: 

Dans un tel contexte, Ali Bongo a apporté des pistes de réponses à ce qui est possible et doit être fait ensemble avec une « pensée nouvelle et inventive, à même de placer le continent africain sur la rampe de lancement d’un développement économique et social équitable, propre et durable ».

Paragraphe 4: 

Pour ce faire, dira t-il, « l’Afrique doit, la première, moderniser ses systèmes de gouvernance pour se donner les moyens de résoudre ses problèmes nationaux dans un monde de plus en plus interdépendant et en rapide évolution, dans lequel la dimension nationale se fond de plus en plus dans le système global ».

Paragraphe 5: 

Le Président de la République a plaidé pour « un nécessaire changement de paradigme car il s’agira aussi d’utiliser de manière plus rationnelle et plus durable les ressources naturelles du continent. » Relever ce défi, c’est assurer la pleine et entière intégration de l’Afrique dans l’économie mondiale et garantir son accès aux savoirs technologiques et industriels.

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Le Président Ali Bongo Ondimba intervient lors de la séance plénière d’ouverture de la 5ème édition du TICAD.
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Thème 1: 
Ali Bongo Ondimba
Thème 2: 
International
Typologie: 
Actualité
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Présidence

TICAD V: Ali Bongo Ondimba partage l'expérience gabonaise pour le renforcement des bases sectorielles pour la croissance

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Dimanche 2 Juin 2013, Yokohama - Le Chef de l’Etat a partagé avec ses pairs et l’assemblée, l ‘expérience conduite ces dernières années pour faire du Gabon un pays émergent. Cette séance thématique du jour, modérée par Donald KABERUKA, Président de la Banque Africaine de Développement (BAD) a vu la participation des Présidents de la Cote d’Ivoire, du Cap vert, de la Sierra Leone, de panelistes et d’institutions comme l’Agence Internationale pour la Coopération Japonaise (JICA), l’Union africaine, le Fonds International pour le Développement de l’Agriculture (FIDA).

Paragraphe 1: 

Pour le Chef de l ‘Etat, « l’émergence ne se décrète pas. Elle s’appuie sur une croissance forte et soutenue. Pour ce faire, nous créons un cadre institutionnel propice et incitatif pour assurer la transformation locale de nos matières premières, et principalement des ressources naturelles renouvelables. De même, nous accompagnons cette ambition d’une réelle politique de renforcement des capacités humaines pour assurer de manière pérenne l’appropriation de ce processus».

Etayant son propos par la stratégie du Gabon Emergent, Ali Bongo Ondimba a expliqué que les bases de la croissance sont nécessairement sectorielles.

Paragraphe 2: 

Concernant le Gabon Industriel, poursuivra t-il, « notre stratégie permet d’assurer la transition d’une économie de rente vers une économie diversifiée à forte valeur ajoutée, garantissant la durabilité de notre développement».

Pour le Chef de l’Etat cet objectif se fonde sur « d’énormes potentialités minières : à titre d’exemple, le Gabon possède les 4èmes réserves mondiales de manganèse et des gisements de fer de très haute teneur dont le potentiel est estimé à plus d’un milliard de tonnes.

Beaucoup d’autres minerais et métaux rares viennent compléter ces importantes richesses naturelles».

Paragraphe 3: 

Concluant son intervention, Ali Bongo Ondimba a reconnu que « le PIB du Gabon repose essentiellement sur les secteurs des hydrocarbures et des mines » et clairement fixé « la nouvelle ambition d’assurer désormais un développement axé sur l’utilisation rationnelle et durable de nos ressources renouvelables».

Concluant son propos, le Président de la République Gabonaise a fait observer que « ce développement a déjà pour locomotive une industrie structurée et ambitieuse de transformation du bois»… et « qu’une industrie de services, portée sur un capital humain compétent, permettra de compléter et d’accompagner le dispositif de valorisation des ressources naturelles de façon pérenne et plus durable».

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Economie
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Banque Africaine de Développement
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Communiqués
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TICAD V : Ali Bongo Ondimba : « faire de 2020 la date butoir des exportations de matières brutes non transformées en Afrique »

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Lors de la séance plénière de la 5ème édition de la TICAD consacrée à l’économie solide et durable, et en cohérence avec sa vision et ses options stratégiques pour l’émergence du Gabon et du continent africain, Ali Bongo Ondimba a invité ses pairs à s’engager à faire de 2020 la date butoir des exportations de matières brutes non transformées provenant du continent.

Paragraphe 1: 

Le Président de la République Gabonaise a indiqué que le monde de l’économie doit se fixer des règles plus justes et plus équitables pour assurer le transfert de technologies.

« C’est pourquoi », ajoutera-t-il, « je vous propose de prendre, ici et maintenant, l’engagement de faire de l’année 2020, la date après laquelle plus aucune matière première issue du continent africain ne serait exportée sans avoir, au préalable, réalisé une première transformation sur le sol africain. Ce nécessaire
changement de paradigme est à notre portée. Au-delà, il s’agira aussi d’utiliser de manière plus rationnelle et plus durable les ressources naturelles du continent ».

Un tel engagement obéit à la nécessité d’assurer une diversification et la croissance soutenue des économies africaines en vue de répondre aux aspirations des populations dans tous les domaines.

En prônant la transformation locale de nos matières premières dans des secteurs bien ciblés, et en proposant une date butoir de l'exportation des matières brutes Ali Bongo Ondimba est en phase avec la politique menée ces dernières années et qui porte ses fruits.

Le Gabon qui a décidé en 2010 l'arrêt de l'exportation des grumes de bois, a vu s'accroitre de plus de 40% les unités de transformation et doubler le nombre d'emplois dans cette filière.

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Lors de la TICAD V, Ali Bongo Ondimba a invité ses pairs à s’engager à faire de 2020 la date butoir des exportations de matières brutes non transformées provenant du continent.
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International
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Economie
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Communiqués
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Présidence

Ticad V : Gabon-Japon, renforcement de l'axe Libreville-Tokyo

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Dimanche 2 Juin 2013, Yokohama - Un entretien bilatéral a eu lieu ce dimanche 2 juin en marge de la TICAD V entre le Président Ali BONGO ONDIMBA et le Premier Ministre japonais Shinzo ABE, entourés de leurs collaborateurs.

Paragraphe 1: 

Répondant au souhait de bienvenue du Premier Ministre Japonais en cette 4e visite qui coïncide avec le 20e anniversaire de la TICAD, Ali Bongo Ondimba a remercié la partie japonaise pour la qualité de son accueil et axé son propos sur le prix qu’il attache aux relations bilatérales et au renforcement de la coopération économique.

Paragraphe 2: 

Le Gabon, dira t-il à son hôte, offre des opportunités importantes aux entreprises japonaises qu’il invite à des visites et à investir, dans plusieurs secteurs, notamment dans les infrastructures au moment où le Japon, qui se situe dans le concret, annonce 6,5 milliards de dollars pour supporter le développement des infrastructures en Afrique.

Suite au tableau succinct et pertinent de l’attractivité du Gabon dressé par le Chef de l’Etat, le Premier Ministre Japonais a annoncé l’organisation d’une mission conjointe publique- privée prochainement au Gabon.

Paragraphe 3: 

Il a salué par ailleurs les efforts du Gabon en matière de préservation de la nature et de l’environnement et exprimé le soutien du Japon au Gabon Vert et à la gestion durable de la forêt.

Le Japon a sollicité le soutien du Gabon pour la candidature de Tokyo, pour l’organisation des Jeux olympiques de 2020 et la poursuite du dialogue sur la question de la chasse à la baleine.

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Un entretien bilatéral a eu lieu ce dimanche 2 juin en marge de la TICAD V entre le Président gabonais et le Prémier Ministre Japonais Shinzo Abe.
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Thème 1: 
Ali Bongo Ondimba
Thème 2: 
Conférences et rencontres
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Communiqués
Acteur: 
Présidence

Conférence de presse du porte-parole de la présidence du vendredi 7 juin 2013

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I/- SEJOUR DU PRESIDENT ALI BONGO ONDIMBA A MARRAKECH AU ROAYAUME DU MAROC

II/- SEJOUR DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A YOKOHAMA AU JAPON

III/- SEJOUR DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A PARIS

IV/- SOMMET DES CHEFS D’ETATS DE LA CEMAC

V/- DEUXIEME EDITION DU New York Forum Africa

VI/- REUNION DES ETATS DU GOLFE DE GUINEE

Titre paragraphe 1: 
I/- SEJOUR DU PRESIDENT ALI BONGO ONDIMBA A MARRAKECH AU ROAYAUME DU MAROC
Paragraphe 1: 

Le 30 mai 2013, le Président de la République a pris part à la 48ème Assemblée annuelle de la Banque Africaine de Développement (BAD) à Marrakech au Royaume du Maroc.

Au cours de son intervention, le Président de la République, Chef d’Etat gabonais, son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a exhorté ses pairs à opter pour une économie à forte valeur ajoutée et diversifiée au détriment d’une économie de rente.

Pour cela, le Président de la République pense que l’économie de notre continent doit cesser reposer sur les cours des matières premières qui sont aléatoires et non maîtrisables pour faire face à trois défis majeurs à savoir :
- L’accélération de la croissance économique et la diversification de ses ressources ;
- La réduction de la pauvreté et des inégalités sociales ;
- La nécessité d’assurer une gestion durable des ressources naturelles pour les générations futures.

Titre paragraphe 2: 
II/- SEJOUR DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A YOKOHAMA AU JAPON
Paragraphe 2: 

Le Président de la République, son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a séjourné à Yokohama du 31 mai au 3 juin 2013 où il a pris part à la 5ème conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (TICAD V).

Dans son discours à la séance plénière d’ouverture de la conférence, le Président de la République a mis un accent particulier sur le potentiel africain autour de la thématique « économie solide et durable ».

Le Président Ali BONGO ONDIMBA constate qu’après 20 ans de TICAD, la problématique sur le développement de l’Afrique n’a pas varié.
Face à ce constat, Président Ali BONGO propose une « pensée nouvelle et inventive, à même de placer le continent africain sur la rampe de lancement d’un développement économique et social équitable, propre et durable ».

Aussi pense-t-il que l’Afrique doit, la première, moderniser ses systèmes de gouvernance pour se donner des moyens de résoudre ses problèmes nationaux dans un monde de plus en plus interdépendant et en rapide évolution, dans lequel la dimension nationale se fond dans le système global.
Le Président de la République a profité de cette tribune pour lancer à ses homologues un défi, celui qui permettrait au continent de développer une économie durable.

La TICAD V s’est achevée par un engagement des dirigeants africains et japonais à promouvoir l’investissement privé, à accélérer le développement des infrastructures, et à aider le monde agricole dans leur autonomisation.

Le Japon promet fournir une aide de plus de 24 milliards d’euros en faveur de l’Afrique sur les 5 prochaines années dans les secteurs de l’éducation, de la santé, de l’environnement, du développement de l’agriculture, de la paix et de la stabilité.

Le président de la République a ensuite pris part à une discussion organisée par l’Agence Japonaise pour la Coopération Internationale (JICA) au cours de laquelle il a présenté sa vision sur l’emploi des jeunes.

Dans sa vision, l’emploi des jeunes constitue le baromètre du bien-être d’un pays. C’est pour cette raison que les questions d’éducation et de formation sont au centre de toutes les politiques de jeunesse ; l’objectif principal étant d’améliorer de manière significative, la qualité de la formation et surtout de la faire correspondre à nos besoins économiques et stratégiques.

En marge de cette conférence, le Président Ali BONGO ONDIMBA s’est entretenu avec le Premier Ministre Japonais, SHINZO ABE.

Les échanges ont principalement porté sur les relations bilatérales et au renforcement de la coopération économique.

Les deux personnalités ont convenu de la mise en place d’une mission conjointe publique-privée dans les prochains mois au Gabon. Cette mission devrait permettre aux entreprises japonaises de visiter et d’investir dans les partenariats lucratifs, notamment dans les infrastructures.

Titre paragraphe 3: 
III/- SEJOUR DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A PARIS
Paragraphe 3: 

Le mercredi 5 juin 2013, sur invitation du Président François HOLLANDE, le Président Ali BONGO ONDIMBA, aux côtés de sept (07) autres Chefs d’Etats africains, a pris part au siège de l’UNESCO, à Paris, à la cérémonie de remise du prix Houphouët Boigny au Président français pour son action pour la stabilité et la paix en Afrique, notamment au Mali.

La France, faut-il le rappeler, est intervenue militairement pour repousser la présence rebelle dans plusieurs villes du MALI.

Le Président Ali BONGO ONDIMBA a, à la suite de cette cérémonie, adressé ses vives félicitations au lauréat du prix Houphouët Boigny.

En prélude à la réception du prix Houphouët Boigny, le Président François HOLLANDE a reçu ses convives au cours d’un déjeuner à l’Elysée pendant lequel la situation sécuritaire en Afrique a fait l’objet des discussions et la perspective de la création d’une force d’intervention africaine a été évoquée.

Titre paragraphe 4: 
IV/- SOMMET DES CHEFS D’ETATS DE LA CEMAC
Paragraphe 4: 

Le 14 juin prochain, sur convocation du Président Ali BONGO ONDIMBA, Président en exercice de la CEMAC, le Sommet des Chefs d’Etats de cette organisation sous-régionale se réunira à Libreville.

Au cours de ce sommet, les Chefs d’Etats de la CEMAC auront à examiner entre autres les effets néfastes de la crise en République Centrafricaine sur le fonctionnement de cette institution notamment avec l’éventualité de délocaliser provisoirement son siège jusqu’au retour à la normalisation dans ce pays frère ainsi que l’a suggéré le Conseil des Ministres de la communauté en avril dernier.

Les Chefs d’Etats vont en outre examiner d’autres questions inscrites sur l’agenda de la Présidence Gabon de la CEMAC ainsi que certains sujets d’actualité.

L’ensemble des Chefs d’Etats de la communauté sont donc attendus à Libreville à cet effet.

Titre paragraphe 5: 
V/- DEUXIEME EDITION DU New York Forum Africa
Paragraphe 5: 

La deuxième édition du New York Forum Africa aura lieu du 14 au 16 juin prochain. Cette édition réunira plus de 700 participants dont :

Certains anciens Chefs d’Etat :
- Frederik De Klerk de l’Afrique du Sud ;
- John A. Kufuor du Ghana ;
- Olusegun Obasanjo de la République Fédérale du Nigéria
Six prix Nobels dont :
- Mohamed El Baradei : Prix Nobel de la Paix
- Frederik De Klerk : Prix Nobel de la Paix également

Cette édition verra aussi la participation d’éminentes personnalités du monde politique, de la banque et des scientifiques de renom dont :
- Fatou Bensouda, Procureur de la Cour Pénale Internationale (CPI) ;
- Nicolas Hulot, Envoyé spéciale du Président de la République Française pour la protection de la planète ;
- Mathieu Pigasse, Directeur de la Banque Lazard France ;
- Larry Summers, économistes et ancien Secrétaire du Trésor américain
- Jacques Attali : économiste.

Plusieurs groupes d’investisseurs prendront également part à ce rendez-vous de Libreville.

Au cours de ces assises, un accent particulier sera mis sur l’importance du tissu économique africain, en particulier les Petites et Moyennes Entreprises qui représentent 90% du secteur privé sur le continent. C’est pourquoi une attention particulière sera accordée à la participation des PME et PMI de notre pays.

Contrairement à la dernière édition, celle de cette année verra plusieurs innovations introduites à savoir :
- L’intégration à la communauté présente en 2012, des chefs d’entreprises affirmées, des grands investisseurs internationaux ;
- L’introduction de thèmes nouveaux à l’image de la nouvelle économie, de l’innovation technologique etc ;
- La présence d’un grand nombre d’intervenants et de participants de pays qui n’étaient jamais venus investir en Afrique ;
- La création d’une place d’affaires afin d’éviter que le forum ne se résume à des échanges strictement intellectuels.

Titre paragraphe 6: 
VI/- REUNION DES ETATS DU GOLFE DE GUINEE
Paragraphe 6: 

Le 25 juin 2013, Le Président de la république, son Excellence Ali BONGO ONDIMBA prendra part à la Réunion des Etats du Golfe de Guinée qui se tiendra à Yaoundé au Cameroun.

Cette réunion qui sera élargie à d’autres pays du continent et du monde va discuter du cadre juridique de la sécurité maritime ainsi que des nouvelles formes de pirateries maritimes.

Comme vous le savez, le Golfe de Guinée est enclin à ce phénomène car produisant près de 5 millions de barils de pétrole par jour, qu’il est plus que nécessaire à chaque instant d’adapter la stratégie de sécurisation de la zone aux nouvelles formes de pirateries.

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Conférence de presse du porte-parole de la présidence du vendredi 7 juin 2013.
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Thème 1: 
Ali Bongo Ondimba
Thème 2: 
Conférences et rencontres
Typologie: 
Communiqués
Acteur: 
Première Dame

Clôture du Forum autour du lancement d’un fonds jeunesse contre le chômage

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Libreville, le 16 juin 2013 – En clôture de la 2ème édition du New York Forum Africa, qui se tient dans la capitale gabonaise depuis le 14 juin, le Président Ali Bongo Ondimba, hôte de l’événement, a annoncé la création du Fonds « Train My Generation » pour la formation des jeunes dans des secteurs clés de l’économie africaine. Les trois jours d’échanges entre décideurs économiques et politiques internationaux ont débouchés sur des mesures concrètes.

Paragraphe 1: 

Au total plus de 1500 participants et 7 Chefs d’Etat ont pris part à la deuxième édition du New York Forum Africa qui s’est tenu du 14 au 16 juin 2013 à Libreville au Gabon. Avec parmi ses objectifs principaux la promotion d’un développement économique inclusif bénéficiant aux jeunes africains, la création d’emplois pour le développement d’un tissu de PME africaines et la  construction des partenariats gagnant-gagnant avec les investisseurs internationaux, la deuxième édition New York Forum Africa a été à la hauteur des espérances. « Aussi bien au niveau économique que politique des engagements concrets ont été pris », s’est réjoui Richard Attias, fondateur et organisateur du Forum. Des contrats de grandes envergures ont en effet été signés dans l’éducation, l’audiovisuel, l’aménagement urbain et l’agriculture. Un accord stratégique avec le géant suisse Gunvor du négoce pétrolier qui débutera dès septembre 2013 permettra particulièrement la création d’un hub énergétique sur toute la façade atlantique de l’Afrique.

Lors de l’allocution finale du New York Forum Africa 2013, le Président gabonais s’est félicité de voir « tous les indicateurs attester de la capacité du continent à construire son avenir et à être une attraction mondiale ». « Nous soutenons tous les projets qui s’intègrent à notre stratégie et à notre processus de développement ». Plaidant pour un combat sans concession contre la corruption, Ali Bongo Ondimba a souligné l’engagement du Gabon pour créer un environnement des affaires de classe internationale.

Titre paragraphe 2: 
Un Fonds pour l’emploi des jeunes
Paragraphe 2: 

En écho aux propos prononcés dès la première journée par le fondateur et l’organisateur du Forum, Richard Attias (« si nous nous engageons avec tant de passion, c’est pour une seule raison : les jeunes africaines et africains »), le Président Ali Bongo Ondimba qui avait appelé hier les Africains à « être des acteurs et non plus des spectateurs » de leur développement, a annoncé la création du Fonds Train My Generation destiné à soutenir l’emploi de la jeunesse.
 
Sur un total de 200 millions de dollars alloués à ce fonds, environ 50 millions de dollars seront mis à disposition par les pays de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC) : la décision a été prise lors du Sommet extraordinaire convoqué à Libreville le 14 juin en marge du New York Forum Africa.

Dans un domaine aussi stratégique pour le futur du continent, toutes les énergies seront mobilisées, du secteur privé aux institutions financières internationales.

Cette initiative va être aussitôt présentée au prochain Sommet du G8 qui débutera le 17 juin en Grande-Bretagne.

Titre paragraphe 3: 
Vers une intégration régionale bénéfique pour les citoyens et l’économie de la CEMAC
Paragraphe 3: 

Le Sommet extraordinaire des 6 Chefs d’état de la CEMAC (Cameroun, Gabon, Guinée Equatoriale, République centrafricaine, République du Congo et Tchad), que le Gabon avait convoqué en marge du New York Forum Africa, avait également accouché d’une avancée majeure dans le long processus d’intégration régionale : le 1er janvier 2014 sonnera la fin des visas pour les citoyens gabonais, camerounais, équato-guinéens, centrafricains et tchadiens désirant voyager au sein de la Communauté. Une évolution importante, attendue par de nombreux commerçants et par les familles d’Afrique centrale. Pour les 6 Chefs d’Etat, « le but est de créer de nouveaux débouchés pour que les prochaines générations puissent pleinement bénéficier de leur potentiel ». Ces deux initiatives politiques et économiques majeures vont être aussitôt présentées au prochain Sommet du G8 qui débutera le 17 juin en Grande-Bretagne.

Rendez-vous est pris pour mesurer les avancées des initiatives engagées au prochain New York Forum Africa 2014.

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Résumé: 
En clôture du NYF Africa, le Président Ali Bongo Ondimba a annoncé la création du Fonds « Train My Generation » pour la formation des jeunes dans des secteurs clés de l’économie africaine.
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Thème 1: 
International-Economie
Thème 2: 
Conférences et rencontres
Typologie: 
Communiqués
Acteur: 
Présidence

Communiqué final du Conseil des Ministres du 18 juin 2013

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Contenu
Chapeau: 

Deux (2) points capitaux ont marqué les assises du Conseil des Ministres. Il s’agit :

  • du retour aux vertus cardinales d’Homme et de citoyen ;
  • de l’opiniâtreté de Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, qui, inlassablement, invariablement, œuvre pour le rayonnement de notre pays et recherche constamment les nouvelles opportunités d’affaires, aux fins d’améliorer les conditions de vie du peuple qui l’a plébiscité.
Paragraphe 1: 

Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a rappelé les valeurs de patriotisme qui relèvent de l’attachement profond que nous devons à notre pays. Chaque Gabonais doit situer l’intérêt général au dessus de ses intérêts particuliers.

Les compatriotes doivent prendre conscience de la responsabilité de chacun et du rôle à jouer au sein de la famille gabonaise.

Le Conseil des Ministres fustige le déficit de concorde, de civisme de certains compatriotes face aux difficultés majeures qui nous interpellent tous.

A cet effet, Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a invité à un ressourcement républicain. Nous, Gabonais, devons rester unis pour pourchasser, jusqu’à leurs derniers retranchements, les criminels, les perfides trompeurs qui sèment le poison et répandent la peur.

Paragraphe 2: 

Le Gabon doit demeurer uni dans la concorde, uni pour affronter les affres de notre société, uni pour l’émergence d’un Gabon juste, fort et prospère.

Dans ce même registre, Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a commandé au Conseil des Ministres de poursuivre, avec plus de détermination, les réformes engagées pour la sécurisation des personnes.

Sur un tout autre plan, tel un pèlerin fort des richesses de son pays et muni d’une stratégie ambitieuse pour la renommée du Gabon et pour le bien-être du peuple qui l’a plébiscité,  Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, Président de la République, Chef de l’Etat s’est rendu tour à tour :

  • à Addis-Abeba en Ethiopie où Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a pris part, aux côtés de ses pairs africains, à la célébration du cinquantenaire de l’Union Africaine (UA), anciennement Organisation de l’Unité Africaine (OUA).

Les Chefs d’Etat de l’Union Africaine s’accordent pour déployer davantage d’efforts aux fins :
-    de garantir la sécurité des populations dans les régions menacées par des guerres et autres fléaux ;
-    d’enrayer le chômage endémique des jeunes ;
-    de mettre en place des mécanismes efficaces pour l’intégration économique.

•    à Marrakech au Maroc, Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a pris part à la 48ème Assemblée Annuelle de la Banque Africaine de Développement (BAD).

Au cours de ses assises, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, Président de la République, Chef de l’Etat a souligné que l’Afrique doit croire en ses propres capacités. Sa matérialisation de l’Emergence doit tenir compte de trois (3) défis cruciaux :
-    l’accélération de la croissance économique par la diversification de l’économie et la valorisation locale des matières premières ;
-    la réduction de la pauvreté et des inégalités sociales ;
-    l’assurance de la gestion durable des ressources nationales pour les générations futures.

Paragraphe 3: 

Ensuite, Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a pris part à la cinquième Conférence Internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (TICAD V).
 
A cette tribune, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, Président de la République, Chef de l’Etat, a décliné les atouts de l’Afrique qui doivent dissiper l’afro pessimisme. Il s’agit notamment :

  • des richesses diverses et nombreuses du continent ;
  • du taux de croissance le plus élevé de la planète ;
  • de la population la plus jeune du continent.

La Conférence Internationale de Tokyo sur le Développement de l’Afrique (TICAD V) a adopté les résolutions dont les plus importantes sont les suivantes :

  • l’engagement de faire de l’année 2020 la date après laquelle aucune matière première issue du continent ne serait exportée sans avoir une première transformation localement ;
  • le passage pour notre continent d’une économie de rente à une économie à valeur ajoutée ;
  • l’assurance d’un mieux-être des populations africaines tant sur le plan de la santé, de la sécurité alimentaire, de l’eau, de l’électricité, du logement… ;
  • la pleine et entière intégration de l’Afrique dans l’économie mondiale ;
  • la contribution active à l’effort mondial de lutte contre les conséquences du changement climatique, l’érosion de la biodiversité, de la désertification des terres, du braconnage des espèces en danger.
Paragraphe 4: 

De même, en réponse à une invitation de Son Excellence François HOLLANDE, Président de la République Française, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, Président de la République, Chef de l’Etat, a effectué une visite de travail à Paris, rehaussant de sa présence la cérémonie du Prix « Félix HOUPHOUET BOIGNY pour la recherche de la paix », aux côtés de sept (7) autres de ses pairs africains.

Au titre de la Communauté Monétaire des Etats de l’Afrique Centrale (CEMAC), Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, Président en exercice de ladite organisation, a convoqué le cinquième (5ème) Sommet Extraordinaire des Chefs d’Etat au Stade de l’Amitié d’Angondjé, parallèlement à l’ouverture solennelle des travaux de la deuxième (2ème) édition du New York Forum Africa.

A cette occasion, le Président en exercice de la Communauté Monétaire des Etats de l’Afrique Centrale (CEMAC) a appelé à la solidarité économique et financière et a salué la décision de libre circulation des personnes au sein de la Communauté Monétaire des Etats de l’Afrique Centrale (CEMAC).

Cette résolution salutaire contribuera à l’élargissement de l’attractivité des marchés intérieurs de ladite zone.

Ainsi, les nouvelles générations pourront-elles bénéficier pleinement des potentiels de la sous-région.

L’Emergence à laquelle aspire la Communauté Monétaire des Etats de l’Afrique Centrale (CEMAC) ne se matérialisera que dans la paix et lorsque la mutation d’une économie de rente à une économie à valeur ajoutée s’opèrera.

Paragraphe 5: 

Enfin, Homme de dialogue et d’ouverture, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, Président de la République, Chef de l’Etat, a parrainé la deuxième (2ème) édition du New-York Forum Africa, dans le but d’impulser le développement de notre pays, aux fins d’améliorer les conditions de vie de nos populations.

Un rendez-vous dense, pluriel du donner et du recevoir avec des thématiques pertinentes tant sur le plan économique et sécuritaire.

Cette tribune qui a rassemblé des sommités (plus de sept cent participants) et des Chefs d’Etat a réservé une place privilégiée à la jeunesse, pour laquelle il a été créé un Fonds de deux cent millions (200.000.000) de dollars, désigné « Train My Generation » pour soutenir l’emploi de cette jeunesse.

Les conclusions du New York Forum Africa ainsi que les résolutions des Chefs d’Etat de la CEMAC vont être mises en commun pour une présentation au Sommet du G8.

Titre paragraphe 6: 
AU TITRE DES PROJETS DE TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES
Paragraphe 6: 

MINISTERE DE L’AGRICULTURE, DE L’ELEVAGE, DE LA PECHE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL

Sur présentation de Monsieur le Ministre, le Conseil des Ministres a adopté le projet de décret portant modification de certaines dispositions du décret n° 0292/PR/MAEPDR du 18 février 2011 portant création et organisation de l’Agence Gabonaise de Sécurité Alimentaire (AGASA).

Conformément au décret précité, l’Agence Gabonaise de Sécurité Alimentaire a pour mission l’évaluation et la prévention des risques nutritionnels et sanitaires des aliments, et prend désormais en compte les nouvelles exigences environnementales en étendant clairement ses missions sur des sites de production et sur la chaîne de distribution.

Aussi, les modifications consacrées par le présent texte portent essentiellement sur la nature juridique et le renforcement des missions de l’Agence Gabonaise de Sécurité Alimentaire (AGASA), redéfinies dans les articles 2, 3, 4 et 5 nouveaux, modifiés et qui se lisent désormais comme suit :

« Article 2 nouveau : il est créé un établissement public à caractère technique et scientifique, dénommé « Agence de Sécurité Alimentaire », en abrégé AGASA ».

« Article 3 nouveau : l’Agence de Sécurité Alimentaire (AGASA) a pour mission de prévenir, évaluer et gérer les risques sanitaires et nutritionnels présents dans les aliments destinés à la consommation humaine et animale depuis leur production jusqu’à leur distribution ».

Paragraphe 7: 

A ce titre, elle est notamment chargée :

-    de donner des avis et une assistance scientifique et technique dans tous les domaines ayant un impact sur la sécurité alimentaire ;

-    de protéger la santé et les intérêts des consommateurs tout en garantissant le bon fonctionnement du marché intérieur ;

-    de rechercher, recueillir, analyser et résumer les données scientifiques et techniques dans les domaines de la sécurité sanitaire des aliments ;

-    de surveiller les risques pouvant venir des maladies des animaux, des produits phytosanitaires, des médicaments vétérinaires, des insecticides et pesticides à usage agricole et des engrais ;

-    de procéder à l’analyse des perspectives alimentaires résultant de la campagne agricole et à l’identification des zones sinistrées et déficitaires ;

-    de mener une action d’identification et de caractérisation des risques émergents d’origine alimentaire ;

-    de rechercher, analyser et réprimer, le cas échéant, toutes les traces d’éléments contaminants des sols, des nappes d’eaux souterraines, des surfaces et des aliments en vue de proposer aux consommateurs des produits et denrées sains ;

-    d’assurer la liaison avec les autres agences ou structures de sécurité alimentaire ;

-    de s’appuyer sur l’expertise des autres structures spécialisées existantes afin d’évaluer les risques dans son champ de compétence ;

-    de veiller à l’information des consommateurs sur la qualité sanitaire et nutritionnelle des aliments ;

-    d’assurer une veille permanente pour garantir la sécurité alimentaire ;

-    de protéger la santé animale et le bien être animal ainsi que la santé des végétaux en lien avec la sécurité sanitaire alimentaire ;

-    d’assurer la police sanitaire, l’inspection des denrées alimentaires et d’exercer la police phytosanitaire et la répression des fraudes ;

-    de proposer aux autorités compétentes toute mesure de nature à préserver la santé publique vétérinaire ;

-    de participer et prendre part aux travaux des instances nationales, sous-régionales et internationales.

« Article 4 nouveau : l’Agence de Sécurité Alimentaire  (AGASA) est dotée de la personnalité juridique et jouit de l’autonomie de gestion financière. Elle a son siège à Libreville et dispose de représentations sur toute l’étendue du territoire national.
L’Agence de Sécurité Alimentaire (AGASA) est placée sous la tutelle technique du Ministère chargé de l’Agriculture ».

« Article 5 nouveau : l’Agence de Sécurité Alimentaire  (AGASA) comprend :

-    le Conseil d’Administration ;
-    la Direction Générale ;
-    le Comité Scientifique et Technique ;
-    l’Agence Comptable ».

Paragraphe 8: 

MINISTERE DE L’INTERIEUR, DE LA SECURITE PUBLIQUE, DE L’IMMIGRATION ET DE LA DECENTRALISATION

Sur présentation de Monsieur le Ministre, le Conseil des Ministres a entériné le projet de décret portant enrôlement électronique et biométrique des citoyens gabonais aux fins de constitution du fichier d’état civil et de la liste électorale.

Ce projet de texte décrète que les opérations portant enrôlement électronique et biométrique des citoyens gabonais, aux fins de constitution du fichier d’état civil et de la liste électorale, s’accomplissent dans le strict respect des dispositions de la loi n° 001/2011 du 25 septembre 2011 susvisée et des recommandations pertinentes de la Commission Nationale pour la Protection des Données à Caractère Personnel.

Le traitement de ces opérations est dénommé « Projet d’Identité Biométrique Officielle du Gabon », en abrégé « PIBOG ».

Le Projet d’Identité Biométrique Officielle du Gabon (PIBOG) a pour objectif la collecte, le traitement, la transmission et le stockage par des moyens informatiques appropriés, des identités des citoyens gabonais, établies à partir de leurs données civiles et biométriques.

Les catégories de données à caractère personnel du Projet d’Identité Biométrique Officielle du Gabon (PIBOG) porte exclusivement, pour ce qui concerne l’identité de la personne, sur le nom patronymique, le nom d’épouse s’il y a lieu, le ou les prénoms, la date et le lieu de naissance, le domicile ou la résidence, la profession, l’adresse, le centre de vote et pour les données biométriques, les empreintes digitales, la photographie et la signature.

Le traitement ne comporte, ni dispositif de reconnaissance faciale à partir de l’image numérisée du visage, ni dispositif de recherche permettant l’identification à partir de l’image numérisée des empreintes digitales enregistrées. Il autorise toutefois l’authentification de l’électeur.

Les données enregistrées dans le cadre du Projet d’Identité Biométrique Officielle du Gabon (PIBOG) sont mises en œuvre et conservées de façon permanente dans un environnement sécurisé.

Les données sont transmises en utilisant des procédés de chiffrement adéquats. Le dispositif permet à la fois l’authentification et/ou l’identification fiables des personnes afin de prévenir toute divulgation des informations.

Les droits d’accès, d’opposition, de rectification et de suppression prévus aux articles 7 à 14 de la loi n° 001/2011 du 25 septembre 2011 susvisée s’exercent auprès de l’autorité administrative locale compétente.

Paragraphe 9: 

MINISTERE DE L’INDUSTRIE ET DES MINES

Le Ministre a présenté au Conseil des Ministres, qui les a adoptés, trois (3) projets de décrets, pris en application de la loi n° 20/2005 du 03 janvier 2006 fixant les règles de création, d’organisation et de gestion des services de l’Etat, à savoir :

1. le projet de décret portant attributions et organisation de la Direction Générale de l’Industrie et de la Compétitivité ;

2. le projet de décret portant attributions et organisation de la Direction Générale de la Géologie et de la Recherche Minière ;

3. le projet de décret portant attributions et organisation de la Direction Générale de la Propriété et de l’Exploitation Minière.

Les trois (3) projets de décret mettent en place un nouveau cadre institutionnel qui permettra aux directions générales susmentionnées de mieux jouer leur rôle pivot dans le processus d’industrialisation du Gabon.

A ce titre, la Direction Générale de l’Industrie et de la Compétitivité, la Direction Générale de la Propriété et de l’Exploitation Minière, ainsi que la Direction Générale de la Propriété et de l’Exploitation Minière sont composées des services suivants :
- les services d’Appui ;
- les services Centraux ;
- les services Territoriaux.

Titre paragraphe 10: 
EN MATIERE DE POLITIQUE GENERALE
Paragraphe 10: 

MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES, DE LA COOPERATION INTERNATIONALE, DE LA FRANCOPHONIE, CHARGE DU NEPAD ET DE L’INTEGRATION REGIONALE

Le Conseil des Ministres a marqué son accord aux demandes d’agrément de leurs Excellences :

• Monsieur Cheolkyn CHOE, en qualité d’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République de Corée près la République Gabonaise, avec résidence à Libreville ;

• Monsieur Dmitry V. KOURAKOV, en qualité d’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la Fédération de Russie près la République Gabonaise avec résidence à Libreville ;

• Monsieur Stefan GRAF, en qualité d’Ambassadeur Extraordinaire de la République Fédérale d’Allemagne près la République Gabonaise, avec résidence à Libreville ;

• Monsieur Pavel MIKES, en qualité d’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République Tchèque près la République Gabonaise, avec résidence à Abuja au Nigéria ;

• Madame Ingrid Ronnaug OFSTAD, en qualité d’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire du Royaume de Norvège près la République Gabonaise, avec résidence à Luanda en Angola ;

• Les Colonels Eric A. de LANDMETERS et Viatcheslav OSIPOV, en qualité d’Attachés Militaires, respectivement du Royaume des Pays-Bas et de la Fédération de Russie près la République Gabonaise, avec résidence à Abuja au Nigéria.

MINISTERE DE L’INTERIEUR, DE LA SECURITE PUBLIQUE, DE L’IMMIGRATION ET DE LA DECENTRALISATION

Monsieur le Ministre a sollicité et obtenu l’accord du Conseil des Ministres pour le recensement des armes en circulation au Gabon.

Cette opération permettra, entre autres, d’avoir une meilleure lisibilité de la politique gouvernementale de contrôle de flux de gestion et de sécurisation des stocks d’armes. Elle sera précédée d’une campagne médiatique de sensibilisation et d’information des populations et de la collecte des données de marquage dans les gouvernorats, les préfectures et les sous-préfectures.

MINISTERE DE LA FAMILLE ET DES AFFFAIRES SOCIALES

Le Conseil des Ministres a approuvé l’organisation le 23 juin 2013, de la 3è édition de la Journée Internationale des Veuves (JIV).

A cet effet, le thème choisi cette année est : « Les entreprises citoyennes pour la veuve » ; l’objectif étant d’impliquer les entreprises gabonaises dans la lutte pour la préservation des droits du conjoint survivant.

Le Conseil des Ministres a autorisé un certain nombre de missions à l’étranger des membres du Gouvernement.

La notification de chaque mission sera faite aux différents Ministres par le Secrétariat Général du Conseil des Ministres.

Enfin, le Conseil des Ministres a entériné les mesures individuelles suivantes :

Paragraphe 11: 

PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE

AGENCE NATIONALE DE GESTION ET D’EXPLOITATION DES INFRASTRUCTURES SPORTIVES ET CULTURELLES (ANAGEISC)

CONSEIL D’ADMINISTRATION

- Président : M. François SICKOUT.

DIRECTION GENERALE

- Directeur Général : M. Joel LEHMAN SANDOUNGOU.

- Directeur Général Adjoint 1 : M. Landry Martin NDOUNGOU.

- Directeur Général Adjoint 2 : M. BONGO BIBALOU Bertin.

DIRECTIONS

DIRECTION DE LA MAINTENANCE

- Directeur : M. Eric MOSSAND.

DIRECTION DE L’HEBERGEMENT

- Directeur : Mme Brigitte ONDZOUNGA.

DIRECTION DE LA PLANIFICATION DES OPERATIONS ET DES EVENEMENTS

- Directeur : M. Fréderic LECORRE.

DIRECTION DU MARKETING ET COMMERCIAL

- Directeur : M. KENEO.

DIRECTION DES SERVICES GENERAUX

- Directeur : M. INOUSSA Stéphane.

AGENCE COMPTABLE

- Agent Comptable : M. Pacôme ITSANA.

MINISTERE DE LA JUSTICE, GARDE DES SCEAUX, DES DROITS HUMAINS ET DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLES, PORTE PAROLE DU GOUVERNEMENT

SENAT

- Conseiller Chargé des Collectivités Locales et de la Décentralisation : M. Cyrille ANGOUE, en remplacement de M. David IKOGHOU MENSAH.

- Conseiller Politique, cumulativement avec ses fonctions de Directeur des Opérations à l’Inspection Générale Municipale de Libreville : M. Yvon NZE BIYOGHE, en remplacement de M. Gilles Térence NZOGHE.

COMMISSION NATIONALE DE LUTTE CONTRE L’ENRICHISSEMENT ILLICITE

- Chargé d’Etudes du 2ème Vice-Président : Mme REZILA YENO Audrey, en remplacement de M. Theed OSSIBADJOUO OYINAMONO.

- Secrétaire Particulière du 1er Vice-Président : Mme BIYIE Sandra Roberte.

- Secrétaire Particulière du Commissaire-Membre AVARO : Mme NDAO NKOMA Judith Ambroisine épouse AGONDJO.

Par ailleurs, Madame Lisa Marie BONGOTHA, précédemment à la Cour Constitutionnelle est remise à la disposition de son administration d’origine.
MINISTERE DE L’ECONOMIE NUMERIQUE, DE LA COMMUNICATION ET DE LA POSTE

CABINET DU MINISTRE

- Inspecteur : M. Benjamin YOCKOT, précédemment chargé d’Etudes au Cabinet du Ministre, en remplacement de M. Jules César LECKOGHO.

Direction Générale du Développement des Réseaux Numériques

Direction de la Réglementation et des Réseaux

- Directeur : M. Antoine LENDOYE.

Direction de la Promotion, de la Production et de l’Offre et des Contenus Numériques

- Directeur : M. Arnaud Dubillard MBANI.

Direction de la Promotion des Services Numériques

- Directeur : M. Jude MISSENGUE-MIVIESSINI.

Direction de la Gouvernance Internet

- Directeur : M. Gérard MANDOUMBOU.

Direction Générale de la Poste

Direction de la Réglementation

- Directeur : M. Dieudonné NZIGOU MAVOUROULOU.

Direction des Organismes et Sociétés

- Directeur : M. Jean Daniel EKOME BIYOGHE.

Centre de Documentation et des Archives

Direction Générale

Direction des Archives

- Directeur : M. Vely KOUMBA.

Institut Gabonais de l’Image et du Son

Direction Générale

- Conseiller du Directeur Général : Mme Denise AGNOSSI, en remplacement de M. Guy Roger REKOULA admis à faire valoir ses droits à la retraite.

MINISTERE DES EAUX ET FORETS

CABINET DU MINISTRE

- Directeur de Cabinet : M. NDONGOU Antoine, confirmé.

- Chef de Cabinet : M. BOUROBO Jean Alexis, confirmé.

- Chargé d’Etudes : M. Amaël ZEPHIR, en remplacement de M. Jean Bosco MBAGOU.

AGENCE D’EXECUTION DES ACTIVITES DE LA FILIERE FORÊT-BOIS

- Chef de Service Communication : M. Jonas DONGA, en remplacement de M. Cédric YENOT OLINGOT.

MINISTERE DE L’INTERIEUR, DE LA SECURITE PUBLIQUE, DE L’IMMIGRATION ET DE LA DECENTRALISATION

INSPECTION GENERALE DES SERVICES DU MINISTERE

- Inspecteur Général Adjoint 2 : M. AMBYLA OSSAMY Sylvestre, confirmé.

- Inspecteur des Services : M. NGAMBELI NZOULOU Sylvain, confirmé.

DIRECTION GENERALE DE L’ADMINISTRATION DU TERRITOIRE

ADMINISTRATION DECONCENTREE

PROVINCE DE L’ESTUAIRE

Département de la Noya (Cocobeach)

- Secrétaire général de préfecture : Mme Elie BIGNOUMBA MAGANGA, précédemment en service à la Direction Générale de l’Administration du Territoire, en remplacement de M. Jules ONDO NDONG, remis à la disposition de son administration d’origine.

PROVINCE DU HAUT-OGOOUE

- Secrétaire Général de province : M. Sylvain MAYENE, en remplacement de M. Barnabé BANGALIVOUA.

Département de la Mpassa (Franceville)

- Préfet : M. Barnabé BANGALIVOUA, précédemment Secrétaire général de province, en remplacement de M. Edouard EGNONGO, admis à faire valoir ses droits à la retraite.

Département de la Lébombi-Leyou (Moanda)

- Secrétaire général de préfecture : M. Jean LEMBOUMBA, précédemment en service à la Direction Générale de l’Administration du Territoire, en remplacement de M. Jean Marie DIBANGOYE admis à faire valoir ses droits à la retraite.

Département de la Djoué (Onga)

- Secrétaire général de préfecture : M. Lazare AKOMO.

Département de la Sébé Brikolo (Okondja):

- Préfet : M. Eric André NZUE, précédemment préfet de la Mougalaba, en remplacement de M. Louis Lylian Barros MATHAS.

Département de Lekoni-Lekori (Akieni)

- Préfet : M. Eugène ENDAMA, précédemment Préfet du département de la Lékoko, en remplacement de M. Guillaume NEMBE MVOULOU admis à faire valoir ses droits à la retraite.

- Secrétaire général de préfecture : Mme Evelyne MOULOURI, précédemment en service à la Direction Générale de l’Administration du Territoire, en remplacement de M. Guillaume NGANDOU admis à faire valoir ses droits à la retraite.

Département de la la Lékoko (Bakoumba)

- Préfet : M. Louis Lylian BARROS MATHAS, précédemment préfet du département de la Sébé Brikolo, en remplacement d’Eugène ENDAMA.

Département de l’Ogooué-Létili (Boumango)

- Secrétaire général de préfecture: M. Jean Marie BIGOGO, précédemment Secrétaire général de préfecture à Lébamba.

Département de la Bayi BriKolo

- Préfet : M. Jean de Dieu MBADINGA MOUNGUENGUI, précédemment Secrétaire général de préfecture à Booué, en remplacement de M. Rufin NDJONGOYE remis à la disposition de son administration d’origine.

- Secrétaire général : M. Hilaire MINDILI, précédemment en service à délégation d’académie provinciale du Haut Ogooué, en remplacement de M. Barthélémy KOUTOU MALY, admis à faire valoir ses droits à la retraite.

PROVINCE DU MOYEN-OGOOUE

- Secrétaire général de province : Mme Nicole NOUHANDO, administrateur civil, en remplacement de M. Charles NDONG ONDO admis à faire valoir ses droits à la retraite.

PROVINCE DE LA NGOUNIE

Département de la Mougalaba (Guiétsou)

- Préfet : M. Jean Roger NGUEMBI-NGUEMBI, précédemment préfet du département de la Louétsi-Bibaka, en remplacement de M. Eric André NZUE.

- Secrétaire général de préfecture : M. Charles MOUTSINGA KONDOU.

Département de la Louétsi-Bibaka (Malinga)

- Préfet : M. Jean Marie MAGNAGA, précédemment préfet de la Haute Banio, en remplacement de M. Jean Roger NGUEMBI-NGUEMBI.

- Secrétaire général de préfecture : M. Bruno MEHOULOUBADI, précédemment Secrétaire général de préfecture à OVAN, en remplacement de M. Théodore MOUBOUNDOU NGOUBA, admis à faire valoir ses droits à la retraite.

Département de Ndolou (Mandji)

- Secrétaire général de préfecture : M. Wilfried Dupont LETSINA, précédemment en service au Ministère de l’Intérieur, en remplacement de M. Samuel EKIKI admis à faire ses droits à la retraite.

Département de la Louétsi Wano (Lébamba)

- Secrétaire général de préfecture : M. Jean Eusèbe MOUNDZIEGOUT, précédemment Secrétaire général de préfecture de Boumango.

PROVINCE DE LA NYANGA

Département de la Haute Banio

- Préfet : M. Félicien MAVOUNGOU MAKANGA, précédemment Chargé d’Etudes à la Direction Générale de l’Administration du Territoire, en remplacement de M. Jean Marie MAGNAGA.

Département de la Doutsila (Mabanda)

- Préfet : M. Raymond BIMBOUNZA, précédemment préfet du département d’Etimboué, en remplacement de M. Claude GNAMALENGOUNGOU admis à faire valoir ses droits à la retraite.

PROVINCE DE L’OGOOUE-IVINDO

District de Mvadhy

- Sous-préfet : M. Michel MANGADI, précédemment Sous-préfet du district de Ndougou, en remplacement de M. Jean Jacques DIBEKINDE admis à faire valoir ses droits à la retraite.

PROVINCE DE L’OGOOUE-MARITIME

Département d’Etimboué (Omboué)

- Préfet : M. Raphael OBALI, précédemment sous-préfet du district de Ndangui, en remplacement de M. Raymond BIMBOUNZA.

District de Ndougou

- Sous-préfet : M. MANDA-MONI-DIOUMY, précédemment Secrétaire général de la préfecture de Mougoutsi, en remplacement de M. Michel MANGADI.

PROVINCE DU WOLEU-NTEM

Département du Woleu

- Secrétaire général de préfecture : M. Alexis NGUEMA ONDO, précédemment Secrétaire général de préfecture à Minvoul, en remplacement de M. Magloire MESSILE MEGANDE.

Département du Haut Ntem (Minvoul)

- Secrétaire général : M. Emmanuel ZE OVONO, précédemment en service au gouvernorat du Woleu Ntem.

District de Bolossoville

- Sous-préfet : M. Magloire MESSILE MEGANDE, précédemment Secrétaire général de préfecture à Oyem, en remplacement de M. Athanase EDOU MEBIAME.

Département de l’Okano (Mitzic)

- Préfet : M. Michel MOUKEKE, précédemment en service à la Direction Générale de l’Administration du Territoire, en remplacement de M. Olivier BASSIVA.

GABON INDEPENDANCE

SECRETARIAT PERMANENT

- Secrétaire Permanent Adjoint : M. Fabien Omer NDIMINA DABOU.

MINISTERE DE L’ECONOMIE, DE L’EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE

CABINET DU MINISTRE

- Conseiller Chargé du Pilier Gabon Vert : Dr Ludovic NGOK BANAK, en remplacement de Mme MAPANGOU Marthe.

- Conseiller Chargé des Finances Publiques : M. SAMBA Guy Nazaire.

Par ailleurs, M. AYENE Steeve, précédemment Aide de Camp du Ministre est remis à la disposition de la Gendarmerie Nationale.

BANQUE DE L’HABITAT DU GABON

- Président du Conseil d’Administration : M. Paul BUNDUKU LATHA.

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